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Louis 19, le roi des ondes

Can. 1994. Comédie de Michel Poulette avec Martin Drainville, Agathe de la Fontaine, Dominique Michel. Un modeste vendeur remporte un concours dont le prix consiste à diffuser en direct, 24 heures sur 24, la vie quotidienne du gagnant. Enfilade de situations éculées. Prétentions satiriques plutôt modestes. Humour gras et caricatural. Réalisation empâtée. Interprètes laissés à eux-mêmes.

Général
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Louis 19, le roi des ondes (Louis 19, le roi des ondes)

Général Général

Can. 1994. Comédie de Michel Poulette avec Martin Drainville, Agathe de la Fontaine, Dominique Michel.

Un modeste vendeur remporte un concours dont le prix consiste à diffuser en direct, 24 heures sur 24, la vie quotidienne du gagnant. Enfilade de situations éculées. Prétentions satiriques plutôt modestes. Humour gras et caricatural. Réalisation empâtée. Interprètes laissés à eux-mêmes.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Photographie :
Musique :
Montage :
Pays :
Distributeur :
Les Films Séville
Récompenses
Modeste vendeur d'appareils audio-visuels, Louis Jobin rêve de passer à la télévision. Son souhait se réalise lorsqu'il gagne le concours "Big Star" qu'organise une chaîne locale. Le prix consiste à diffuser en direct la vie quotidienne du gagnant, et ce vingt-quatre heures sur vingt-quatre. L'idée enchante le jeune vendeur jusqu'à ce que sa mère et ses proches lui mènent la vie dure en profitant de la situation. Malgré ses mésaventures, Louis devient une véritable vedette médiatique et attire sur lui l'attention de Julie, une jolie Française. Malheureusement, même ce bonheur s'avère factice: Julie a été engagée pour mettre un peu de piquant dans la vie trop banale du héros. Exaspéré, Louis se révolte.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Exemple classique du film-concept qui ne va nulle part, LOUIS 19 livre une enfilade de situations prévisibles, éculées et finalement bien peu humoristiques. On relève ici et là quelques gags faisant référence à notre culture cinématographique et télévisuelle, mais là s'arrêtent les prétentions satiriques des auteurs qui préfèrent miser sur la caricature et l'humour gras, sans grand succès d'ailleurs. La structure épisodique du scénario, les dialogues sans aucun rythme et une réalisation empâtée ne font qu'alourdir l'ensemble. Des interprètes au talent inégal sont laissés à eux-mêmes.

Texte : Johanne Larue

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