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Les Nouveaux Mecs (Der Bewegte Mann)

All. 1994. Comédie de moeurs de Sönke Wortmann avec Til Schweiger, Katja Riemann, Joachim Krol. Chassé par sa fiancée, un coureur de jupons s'installe chez un homosexuel. Vaudeville aux personnages caricaturaux. Humour basé sur une série de quiproquos. Réalisation un peu lourde. Interprétation sympathique.

13 ans + (langage vulgaire)
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Les Nouveaux Mecs (Der Bewegte Mann)

13 ans + (langage vulgaire) 13 ans + (langage vulgaire)

All. 1994. Comédie de moeurs de Sönke Wortmann avec Til Schweiger, Katja Riemann, Joachim Krol.

Chassé par sa fiancée, un coureur de jupons s'installe chez un homosexuel. Vaudeville aux personnages caricaturaux. Humour basé sur une série de quiproquos. Réalisation un peu lourde. Interprétation sympathique.

Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
Sönke Wortmann
D'après l'oeuvre de Ralf König
Photographie :
Musique :
Montage :
Doro exige que son amant Axel déguerpisse de chez elle après qu'elle l'ait trouvé dans les bras d'une autre. Ne sachant où loger, le coureur de jupons rencontre Walter, un homosexuel qui l'invite chez lui. Axel préfère cependant s'installer chez Norbert, l'ami de Walter en qui il a plus confiance. Lorsque Doro revient lui annoncer qu'elle est enceinte et qu'ils décident finalement de s'épouser, la jeune femme se demande cette fois s'il ne la trompe pas avec Norbert.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Proche par son ton de légèreté et de grivoiserie d'une autre comédie teutonne sortie cette année (TALK OF THE TOWN, qui partage d'ailleurs la même vedette féminine) LES NOUVEAUX MECS est inspiré de deux bandes dessinées populaires en Allemagne, qui égratignent les moeurs contemporaines un peu à la manière de la dessinatrice française Claire Brétecher. Caricatural à souhait, surtout dans sa représentation de la gent homosexuelle, ce vaudeville mise sur une série de quiproquos parfois amusants, parfois faciles. La satire sait se faire cocasse à défaut de creuser plus profondément dans la psychologie de personnages qui sont utilisés avant tout comme des archétypes et non comme des individus à part entière. De ce fait, les sentiments ne sont jamais ressentis comme étant naturels et l'aspect humain de certains personnages s'en trouve considérablement réduit. La mise en scène ne peut être considérée comme des plus subtiles. Quant à l'interprétation, elle parvient souvent à gagner la sympathie du spectateur.

Texte : Christian Depoorter

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