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Le Retour des aventuriers du timbre perdu (The Return of Tommy Tricker)

Can. 1994. Comédie fantaisiste de Michael Rubbo avec Michael Stevens, Joshawa Mathers, Heather Goodsell. Des amis philatélistes s'efforcent de libérer un jeune garçon retenu prisonnier dans un timbre depuis 65 ans. Première partie plutôt chaotique et confuse. Illustration tour à tour pittoresque ou exotique. Jeu plus ou moins convaincants des jeunes comédiens.

Général
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Le Retour des aventuriers du timbre perdu (The Return of Tommy Tricker)

Général Général

Can. 1994. Comédie fantaisiste de Michael Rubbo avec Michael Stevens, Joshawa Mathers, Heather Goodsell.

Des amis philatélistes s'efforcent de libérer un jeune garçon retenu prisonnier dans un timbre depuis 65 ans. Première partie plutôt chaotique et confuse. Illustration tour à tour pittoresque ou exotique. Jeu plus ou moins convaincants des jeunes comédiens.

Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Malofilm
Producteurs :
Tommy et sa bande d'amis philatélistes ont découvert qu'un timbre vieux de 65 ans retient prisonnier un jeune garçon anglais prénommé Charles. Après moult manoeuvres compliquées, ils croient parvenir à libérer le petit personnage, mais à leur grande surprise, ils ont devant eux une jeune fille, Molly, la soeur de Charles. Celle-ci ne tarde pas à vieillir a vue d'oeil, rattrapant son âge réel de 74 ans. Par ailleurs elle désire ardemment retrouver son frère et son époque. Heureusement, Tommy découvre dans une valise un dard magique grâce auquel il pourra exaucer les voeux de Molly via un petit séjour sur une île paradisiaque.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Il est à souhaiter que les jeunes spectateurs de ce film aient bien en mémoire l'épisode précédent, car les auteurs n'ont pas cru nécessaire d'en résumer le sujet. Cette suite débute de façon abrupte pour se poursuivre à un rythme chaotique et confus. Le scénario s'améliore à la mi-parcours, le film adoptant alors un flot narratif mieux contrôlé et plus cohérent. L'ensemble aurait pu profiter d'une dose plus généreuse de fantaisie pure, mais l'illustration s'avère suffisamment pittoresque ou exotique pour frapper raisonnablement l'imagination des jeunes. Notons au passage que la version française de ce film est d'une médiocrité inacceptable.

Texte : Martin Girard

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