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Le Chant des baleines (Whale Music)

Can. 1994. Comédie dramatique de Richard J. Lewis avec Maury Chaykin, Cyndy Preston, Jennifer Dale. Une jeune criminelle en fuite s'installe dans un manoir décrépit où vit en solitaire un musicien perturbé par la mort de son frère. Humour absurde un peu timide. Développements psychologiques banals. Quelques jolies idées poétiques. Mise en scène terne. Jeu sans surprise des comédiens.

Général
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Le Chant des baleines (Whale Music)

Général Général

Can. 1994. Comédie dramatique de Richard J. Lewis avec Maury Chaykin, Cyndy Preston, Jennifer Dale.

Une jeune criminelle en fuite s'installe dans un manoir décrépit où vit en solitaire un musicien perturbé par la mort de son frère. Humour absurde un peu timide. Développements psychologiques banals. Quelques jolies idées poétiques. Mise en scène terne. Jeu sans surprise des comédiens.

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Récompenses
Depuis la mort de son frère, le musicien de rock Desmond Howl s'est retiré dans un manoir décrépit. Il y travaille secrètement à la composition d'une oeuvre dédiée aux baleines. Sa tranquillité est un jour perturbée par l'arrivée de Claire, une jeune criminelle en fuite qui s'installe chez lui comme si de rien n'était D'abord plutôt indifférents l'un envers l'autre, Desmond et Claire en viennent a cohabiter comme un couple d'amoureux platoniques. Mais leur solitude est bientôt troublée par l'arrivée de l'ex-épouse de Desmond et le producteur de celui-ci.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Ce premier film d'un jeune cinéaste originaire de Toronto ne parvient pas vraiment à convaincre. Le comportement excentrique et insolite des personnages semble relever au début du domaine de l'humour absurde. Malheureusement, la suite offre son lot attendu d'explications psychologiques, puisées à même le passé trouble des héros, qui font vite sombrer l'ensemble dans la banalité. C'est dommage, car malgré un ton légèrement artificiel, les premières scènes avaient de quoi attiser la curiosité du spectateur et provoquer un certain amusement. Quelques jolies idées poétiques surnagent pourtant dans cette oeuvre finalement assez décevante. Bien que soignée, la mise en scène manque un peu d'éclat et de rythme, tout comme le jeu sans surprise des comédiens.

Texte : Martin Girard

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