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La Nouvelle vague (The New Age)

É.-U. 1994. Drame de moeurs de Michael Tolkin avec Peter Weller, Judy Davis, Patrick Bauchau. Un couple de yuppies qui traverse une crise financière et conjugale cherche réconfort dans la philosophie du "nouvel âge". Portrait ironique d'un mode de vie branché et matérialiste. Narration alerte. Quelques artifices. Élégance un peu froide convenant bien au sujet. Interprétation vigoureuse.

13 ans + (érotisme)
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La Nouvelle vague (The New Age)

13 ans + (érotisme) 13 ans + (érotisme)

É.-U. 1994. Drame de moeurs de Michael Tolkin avec Peter Weller, Judy Davis, Patrick Bauchau.

Un couple de yuppies qui traverse une crise financière et conjugale cherche réconfort dans la philosophie du "nouvel âge". Portrait ironique d'un mode de vie branché et matérialiste. Narration alerte. Quelques artifices. Élégance un peu froide convenant bien au sujet. Interprétation vigoureuse.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Warner Bros.
Le jour même où la graphiste Katherine Witner perd son plus gros client, son mari Peter décide de quitter son emploi de publiciste. Ce couple de riches yuppies qui gravite dans le milieu branché de Los Angeles se retrouve donc en difficulté financière et, de ce fait, en crfse conjugale. Les deux époux décident d'investir leurs derniers avoirs financiers dans une boutique de vêtements de luxe et s'engagent chacun de leur côté dans des relations extra-conjugales. Ne trouvant pas vraiment réponse à leurs problèmes, ils cherchent ensuite quelques réconforts dans la philosophie du "nouvel âge". Mais tout n'est pas si simple...

L’AVIS DE MEDIAFILM

• Après avoir exploré les thèmes du fanatisme religieux et du fondamentalisme dans The Rapture, Michael Tolkin s'intéresse à un autre univers baigné de mysticisme. Le cinéaste adopte un ton passablement ironique qui ne laisse aucun doute sur le peu de crédibilité qu'il accorde au mouvement à la mode du "nouvel âge". Son scénario fait le procès de gens riches et branchés qui prennent conscience du vide de leur existence au moment même où leur univers matérialiste s'écroule. Des dialogues bien écrits et une construction narrative alerte maintiennent l'intérêt du spectateur, même si l'exercice n'est pas dénué d'artifices. La réalisation possède l'élégance un peu froide qui convient au sujet et les interprètes jouent vigoureusement.

Texte : Martin Girard

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