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La Beauté des femmes

Can. 1994. Drame psychologique de Robert Ménard avec Monique Spaziani, Marc Béland, Dorothée Berryman. Une dessinatrice de mode de Montréal refuse de suivre son mari et partenaire qui veut faire carrière à Paris. Téléfilm aux dialogues quelque peu artificiels. Plusieurs séquences superflues. Mise en scène réduite au strict minimum. Interprétation magnifique de M. Spaziani.

Général
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La Beauté des femmes (La Beauté des femmes)

Général Général

Can. 1994. Drame psychologique de Robert Ménard avec Monique Spaziani, Marc Béland, Dorothée Berryman.

Une dessinatrice de mode de Montréal refuse de suivre son mari et partenaire qui veut faire carrière à Paris. Téléfilm aux dialogues quelque peu artificiels. Plusieurs séquences superflues. Mise en scène réduite au strict minimum. Interprétation magnifique de M. Spaziani.

Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
n/d
Producteurs :
Stella et Victor sont deux dessinateurs de mode qui ont ouvert a Montréal une boutique qui marche tant bien que mal. Ils forment par ailleurs un couple en apparence solide. Il suffit cependant que Victor se laisse embobiner par Diane, une journaliste mondaine qui lui fait miroiter une carrière de rêve dans une firme parisienne, pour que tout soit remis en question. Refusant de se sacrifier pour servir les ambitions de son compagnon, Stella décide de restera Montréal et de continuera s'occuper de la boutique. Mais à Pans, Victor s'aperçoit qu'il s'est fait avoir par Diane, trop heureuse d'avoir compromis sa relation avec Stella.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le tandem Robert Ménard/Claire Wojas, qui nous a donné les très touchants T'ES BELLE JEANNE et L'HOMME DE RÊVE, récidive avec un autre téléfilm qui bénéficie d'une sortie en salle. Or, bien qu'il aborde des thèmes et des préoccupations on ne peut plus actuels, ce dernier opus n'est pas tout à fait à la hauteur des deux précédents. Réduite au strict minimum, la mise en scène est tout entière au service d'un scénario contenant par ailleurs quelques faiblesses. Ainsi, certaines répliques trop écrites versent quelque peu dans l'artificialité, alors que plusieurs séquences apparaissent en définitive presque superflues. Reste l'interprétation magnifique de Monique Spaziani, qui fait un peu oublier le jeu inconsistant de Marc Béland et celui fort caricatural de Dorothée Berryman.

Texte : Louis-Paul Rioux

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