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Jeu de puissance 2 (D2: The Mighty Ducks)

É.-U. 1994. Comédie de Sam Weisman avec Emilio Estevez, Michael Tucker, Jan Rubes. Une équipe de jeunes hockeyeurs américains participe à un tournoi international à Los Angeles. Scénario démagogique empreint d'un esprit chauvin. Nombreux remplissages anecdotiques. Mise en scène banale ponctuée d'une musique sirupeuse. Interprétation superficielle.

Général
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Jeu de puissance 2 (D2: The Mighty Ducks)

Général Général

É.-U. 1994. Comédie de Sam Weisman avec Emilio Estevez, Michael Tucker, Jan Rubes.

Une équipe de jeunes hockeyeurs américains participe à un tournoi international à Los Angeles. Scénario démagogique empreint d'un esprit chauvin. Nombreux remplissages anecdotiques. Mise en scène banale ponctuée d'une musique sirupeuse. Interprétation superficielle.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Buena Vista
L'entraîneur Gordon Bombay et ses jeunes hockeyeurs de l'équipe des Ducks de Minneapolis sont choisis pour représenter les Etats-Unis dans un tournoi international. Pour l'occasion, les petits sportifs se retrouvent flanqués de nouveaux joueurs recrutés à la grandeur du pays. Suite à un entraînement rigoureux, les adolescents parviennent à bien coordonner leurs efforts sur la glace et à battre ainsi plusieurs équipes adverses. Mais tout leur talent et leur enthousiasme demeurent infructueux devant la féroce et belliqueuse équipe islandaise. D'abord découragés à l'idée d'affronter ces derniers lors du match éliminatoire, Bombay et ses joueurs sauront néanmoins leur tenir tête.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Même dans ses pires moments, le premier épisode n'atteignait jamais le niveau de démagogie et de manipulation qui caractérise cette suite racoleuse. D'esprit chauvin, l'entreprise cultive un manichéisme navrant qui s'exprime notamment par un portrait totalement négatif des hockeyeurs islandais, tous présentés comme des tricheurs et des brutes. Le scénario repose sur une seule idée très mince que les scénaristes alimentent paresseusement de remplissages anecdotiques et insignifiants. Pour conférer un peu d'entrain à sa mise en scène banale, l'auteur tartine l'ensemble d'une musique sirupeuse et triomphaliste qui souligne lourdement chaque effet. L'interprétation est superficielle et routinière.

Texte : Martin Girard

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