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Fresh

É.-U. 1994. Drame social de Boaz Yakin avec Sean Nelson, Giancarlo Esposito, Samuel L. Jackson. À Brooklyn, un garçon de 12 ans qui écoule de la drogue prépare un grand coup dans le but de mettre fin à la carrière d'un caïd du quartier. Scénario touffu et de qualité. Confection imaginative des personnages. Rythme relâché par moments. Réalisation nerveuse. Interprétation inspirée.

13 ans + (violence, langage vulgaire)
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Fresh (Fresh)

13 ans + (violence, langage vulgaire) 13 ans + (violence, langage vulgaire)

É.-U. 1994. Drame social de Boaz Yakin avec Sean Nelson, Giancarlo Esposito, Samuel L. Jackson.

À Brooklyn, un garçon de 12 ans qui écoule de la drogue prépare un grand coup dans le but de mettre fin à la carrière d'un caïd du quartier. Scénario touffu et de qualité. Confection imaginative des personnages. Rythme relâché par moments. Réalisation nerveuse. Interprétation inspirée.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Alliance Vivafilm
Du haut de ses douze ans, Fresh apprend à survivre à Brooklyn. Sans que rien ne semble l'atteindre, l'adolescent louvoie de l'école à la rue pour y écouler de la drogue et de la maison proprette de sa tante à la maison close où se drogue sa soeur. Mais cela n'est qu'une façade. En fait, Fresh prépare un grand coup, une superbe arnaque qui, si elle réussit, devrait le libérer, de même que sa soeur, de leur milieu. Inspiré par les leçons d'échecs que lui prodigue son père devenu clochard, le garçon entreprend de mettre fin à la carrière d'Esteban, le caïd du quartier dont il veut la perte.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Premier film d'auteur d'un jeune cinéaste ayant débuté comme tâcheron à Hollywood, cette production indépendante surprend par la qualité de son scénario touffu et l'imagination déployée dans la confection de ses personnages à la fois ultra-réalistes et d'une poésie funèbre. Seul un certain relâchement sur le plan du rythme affaiblit l'impact que procure la réalisation nerveuse du cinéaste qui, par ailleurs, se sert admirablement bien des cadrages obliques, du ralenti, des éclairages et de la bande-son pour créer, par moments, une impression d'onirisme. L'interprétation s'avère particulièrement inspirée.

Texte : Johanne Larue

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