Fausse identité (Soft Deceit)

Name: Fausse identité
Director: Jorge Montesi
Genre: Drame policier
Duration: 91 min.

Can. 1994. Drame policier de Jorge Montesi avec Patrick Bergin, Kate Vernon, John Wesley Shipp. Alors qu'elle s'est infiltrée dans un groupe de malfaiteurs afin de découvrir l'emplacement d'un magot volé, une policière tombe amoureuse du chef de la bande. Scénario bourré de vieux clichés. Réalisation fade et statique. Talent des interprètes gaspillé.

Fausse identité (Soft Deceit)

13 ans +

Can. 1994. Drame policier de Jorge Montesi avec Patrick Bergin, Kate Vernon, John Wesley Shipp.

Alors qu'elle s'est infiltrée dans un groupe de malfaiteurs afin de découvrir l'emplacement d'un magot volé, une policière tombe amoureuse du chef de la bande. Scénario bourré de vieux clichés. Réalisation fade et statique. Talent des interprètes gaspillé.

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Genre :

Drame policier

Année :

1994

Durée :

91 min.

Réalisation :

Jorge Montesi

Pays :

Canada

Distributeur :

Alliance

Interprètes :

Patrick Bergin
Kate Vernon
John Wesley Shipp

Après un vol important de six millions de dollars, le détective John Hobart appréhende les coupables mais ne réussit pas à mettre la main sur le magot. C'est une mission qu'il confie à l'agent Anne Fowler qui, dès lors, doit infiltrer la bande de malfaiteurs et gagner la confiance de leur chef Adam Trent. Celui-ci mord à l'appât mais Fowler commet la bévue de tomber amoureuse du voleur.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Sans surprise, ni caractère, ce petit thriller affiche tous les défauts de ces productions canadiennes-anglaises qui croient pouvoir singer le cinéma hollywoodien en faisant passer Toronto pour une ville américaine, sans toutefois se préoccuper de changer les plaques d'immatriculation des autos ou de cacher les écriteaux bilingues. Le scénario se contente de régurgiter de vieux clichés et la réalisation possède le statisme des pires productions télévisuelles. L'éclairage affreusement fade crée une atmosphère soporifique et la trame sonore, étouffée et clairsemée, frise l'amateurisme. Bref, Jorge Montesi commet ici une oeuvre complètement médiocre, au sein de laquelle Patrick Bergin, un interprète de renom, perd son temps.

Texte : Johanne Larue

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