Ego Trip (Ride Me)

Name: Ego Trip
Director: Bashar Shbib
Genre: Comédie policière
Duration: 80 min.

Can. 1994. Comédie policière de Bashar Shbib avec Bianca Rossini, Frédérick Duval, Adam Coleman Howard. Une femme charge un détective d'enquêter sur les circonstances entourant la mort de son frère et le suicide de la petite amie de celui-ci. Analyse décontractée et un peu artificielle du comportement amoureux contemporain. Style sentant l'improvisation volontaire. Jeu hyperréaliste.

Ego Trip (Ride Me)

Général

Can. 1994. Comédie policière de Bashar Shbib avec Bianca Rossini, Frédérick Duval, Adam Coleman Howard.

Une femme charge un détective d'enquêter sur les circonstances entourant la mort de son frère et le suicide de la petite amie de celui-ci. Analyse décontractée et un peu artificielle du comportement amoureux contemporain. Style sentant l'improvisation volontaire. Jeu hyperréaliste.

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Genre :

Comédie policière

Année :

1994

Durée :

80 min.

Réalisation :

Bashar Shbib

Pays :

Canada

Distributeur :

France-Film

Interprètes :

Bianca Rossini
Frédérick Duval
Adam Coleman Howard

Paula charge le détective privé Frenchie d'enquêter sur les circonstances entourant la mort de son frère Jonathan et le suicide de son amie Francesca. Celle-ci était directrice d'un casino à Las Vegas et s'attendait à ce que Jonathan la demandât en mariage. Devant le peu d'engouement de son amant, Francesca appela ses anciens amants pour l'aider à déménager. Tous fantasmaient sur la belle qui espérait ainsi rendre Jonathan jaloux. Réagissant brutalement, ce dernier releva un défi qui amena le groupe dans le désert où il trouva la mort. Bien qu'embrouillé, Frenchie finit par deviner l'étonnant complot qui s'était tramé.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Shbib s'est taillé une réputation dans le circuit du cinéma marginal nord-américain grâce à des productions à budget réduit dans lesquelles il égratigne souvent l'univers yuppie californien. Son style très particulier sent toujours l'improvisation volontaire: raccords approximatifs, cadrages épurés, longs échanges verbeux et un peu artificiels, intrigue confusément menée,... etc. Cette frugalité technique alliée à une grande légèreté de ton trouvent un écho auprès de ceux qu'intéresse une analyse décontractée du comportement amoureux contemporain. Hélas, les autres risquent de n'y voir qu'amateurisme et bavardage mondain. Néanmoins, beaucoup apprécieront les quelques traits d'humour de cette caricature de polar servie par des acteurs au jeu hyperréaliste.

Texte : Christian Depoorter

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