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Draghoula

Can. 1994. Drame d'horreur de Bashar Shbib avec Stephanie Seidle, Chriss Lee, Robyn Lane. Un jeune scientifique se transforme en vampire après avoir été mordu par un rat de laboratoire. Éléments d'horreur d'un grotesque ineffable. Scénario catastrophique. Niveau technique laissant fortement à désirer. Interprétation ridicule.

13 ans +
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Draghoula (Draghoula)

13 ans + 13 ans +

Can. 1994. Drame d'horreur de Bashar Shbib avec Stephanie Seidle, Chriss Lee, Robyn Lane.

Un jeune scientifique se transforme en vampire après avoir été mordu par un rat de laboratoire. Éléments d'horreur d'un grotesque ineffable. Scénario catastrophique. Niveau technique laissant fortement à désirer. Interprétation ridicule.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
France-Film
Afin de poursuivre ses recherches sur les origines de la culpabilité, le jeune scientifique Harry Silberman est en quête de rats de laboratoire, il entre en contact avec une étrange jeune femme prénommée Armadona qui lui procure des rongeurs de la Transylvanie. Mordu par l'un d'eux, Harry se transforme en vampire assoiffé de sang. Sa nouvelle condition ne manque pas d'inquiéter sa pauvre mère Ida qui décide de consulter une spécialiste en occultisme pour aider son fils. Sabrina, la jeune assistante dévouée de Harry, cherche également à lui venir en aide en mettant au point un remède susceptible de guérir son mal.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Poursuivant avec opiniâtreté sa carrière de cinéaste indépendant, Bashar Shbib délaisse le milieu des yuppies américains pour se consacrer à l'observation des moeurs de vampires. Malheureusement, les rares moments réussis de sa nouvelle production sont ceux où il se contente sagement de décrire avec humour la banalité du quotidien des personnages. Mais le reste, c'est-à-dire tout ce qui touche a,u fantastique et à l'horreur, relève du grotesque le plus ineffable. Le film laisse à désirer sur le plan technique et s'avère franchement catastrophique au niveau du scénario. Les interprètes ne prennent guère leur rôle au sérieux et on ne saurait trop les en blâmer.

Texte : Martin Girard

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