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Croc-blanc 2: Le Mythe du loup blanc (White Fang 2 - The Myth of the White Wolf)

É.-U. 1994. Aventures de Ken Olin avec Scott Bairstow, Charmaine Craig, Alfred Molina. Un jeune chercheur d'or aide une tribu indienne à percer le mystère entourant la disparition des caribous dans leur région. Péripéties plutôt laborieuses. Récit conventionnel au possible. Belle illustration tirant profit des décors naturels. Interprétation honnête sans plus.

En attente de classement
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Croc-blanc 2: Le Mythe du loup blanc (White Fang 2 - The Myth of the White Wolf)

En attente de classement En attente de classement

É.-U. 1994. Aventures de Ken Olin avec Scott Bairstow, Charmaine Craig, Alfred Molina.

Un jeune chercheur d'or aide une tribu indienne à percer le mystère entourant la disparition des caribous dans leur région. Péripéties plutôt laborieuses. Récit conventionnel au possible. Belle illustration tirant profit des décors naturels. Interprétation honnête sans plus.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Buena Vista
En descendant une rivière sur un radeau, le jeune chercheur d'or Henry Casey et son chien-loup Croc-Blanc sont emportés par les rapides. Sur la rive, la jeune Amérindienne Lily voit l'animal refaire surface, puis disparaître au moment où son maître émerge de l'eau à son tour. Croyant ainsi qu'Henry est un loup incarné dans le corps d'un homme, Lily lui demande d'aider sa tribu à percer le mystère entourant la disparition des caribous de la région. Après avoir retrouvé Croc-Blanc sain et sauf, Henry accepte la mission que lui confient les autochtones. Avec l'aide de Lily, il découvre que les caribous sont emprisonnés dans une carrière dont la seule issue a été bloquée par des mineurs crapuleux.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Pour donner suite à leur adaptation du roman "White Fang" de Jack London, les studios Disney ont fait appel à l'imagination d'un scénariste qui ne se montre malheureusement pas à la hauteur. En effet, cette suite se révèle plutôt mince au chapitre des exploits d'aventures. Le récit évolue laborieusement pendant la première heure, conséquence des tergiversations d'un héros plutôt fade qui prend bien son temps avant de passer à l'action. Le dernier tiers est un peu plus relevé, mais le récit demeure conventionnel au possible. Une belle mise en images profite cependant au maximum de la photogénie remarquable des paysages et des animaux sauvages. L'interprétation est honnête sans plus.

Texte : Martin Girard

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