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Crimes imaginaires (Imaginary Crimes)

É.-U. 1994. Drame de moeurs de Anthony Drazan avec Harvey Keitel, Fairuza Balk, Kelly Lynch. Au début des années 1960, un veuf aux entreprises financières douteuses élève seul ses deux filles. Scénario adapté du roman de S. Ballantyne. Sincérité évidente de l'auteur envers son sujet. Climat d'époque bien rendu. Réalisation donnant vie à des personnages touchants. Interprètes de talent.

Général
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Crimes imaginaires (Imaginary Crimes)

Général Général

É.-U. 1994. Drame de moeurs de Anthony Drazan avec Harvey Keitel, Fairuza Balk, Kelly Lynch.

Au début des années 1960, un veuf aux entreprises financières douteuses élève seul ses deux filles. Scénario adapté du roman de S. Ballantyne. Sincérité évidente de l'auteur envers son sujet. Climat d'époque bien rendu. Réalisation donnant vie à des personnages touchants. Interprètes de talent.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Warner Bros.
Depuis qu'un cancer a emporté sa jeune épouse, Ray Weiler élève seul ses deux filles, Sonya et Valery. Constamment à la recherche d'investisseurs pour ses entreprises financières douteuses, le veuf se retrouve bientôt accablé par ses créanciers. Il réussit pourtant à inscrire Sonya dans une école prestigieuse. L'adolescente y développe une belle complicité avec son professeur de littérature, allant même jusqu'à lui faire lire son journal personnel dans lequel elle évoque des souvenirs de sa mère. Cependant, son rêve de poursuivre des études à l'université tourne court lorsque son père est accusé de fraude et mis en prison.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Confirmant les espoirs suscités par la réussite appréciable de son premier film ZEBRAHEAD, le jeune Anthony Drazen délaisse ici les conflits interraciaux pour s'intéresser à un drame familial nourri d'une bonne dose de nostalgie. Photographié avec un soin exquis, le film rend à merveille le climat du début des années 60, cette époque transitoire où l'Amérique passait de l'idéalisme des années 50 aux bouleversements sociaux de la fin des années 60. Le réalisateur donne vie à des personnages touchants et bien développés qui offrent aux interprètes de très beaux rôles dignes de leur talent. Il en résulte une oeuvre agréable où l'auteur manifeste une évidente sincérité envers son sujet.

Texte : Martin Girard

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