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Camp Nowhere

É.-U. 1994. Comédie de Jonathan Prince avec Christopher Lloyd, Jonathan Jackson, Tom Wilson. Un groupe d'enfants s'assure la complicité d'un professeur d'art dramatique afin de fonder secrètement leur propre camp d'été. Farce simpliste et démagogique. Aucun développement dramatique valable. Humour infantile. Mise en scène banale et anonyme. Cabotinage de C. Lloyd.

Général
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Camp Nowhere (Camp Nowhere)

Général Général

É.-U. 1994. Comédie de Jonathan Prince avec Christopher Lloyd, Jonathan Jackson, Tom Wilson.

Un groupe d'enfants s'assure la complicité d'un professeur d'art dramatique afin de fonder secrètement leur propre camp d'été. Farce simpliste et démagogique. Aucun développement dramatique valable. Humour infantile. Mise en scène banale et anonyme. Cabotinage de C. Lloyd.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Buena Vista
Parce qu'ils en ont ras-le-bol des camps de vacances où ils sont assujettis à la surveillance et à la discipline des adultes, un groupe d'enfants se met en frais de fonder secrètement son propre camp d'été. Pour ce faire, les jeunes s'assurent la complicité de Dennis Van Welker, leur excentrique professeur d'art dramatique qui accepte d'endosser divers déguisements pour mystifier les parents. Les gamins parviennent ainsi à louer un groupe de chalets vétustes qu'ils remplissent de jouets et d'appareils électroniques, afin de s'offrir les vacances du siècle. Tout va pour le mieux, jusqu'au jour où les parents annoncent leur intention de venir visiter le camp.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Ce film propose aux jeunes adolescents de vivre par procuration un de leurs fantasmes favoris: s'éclater en toute liberté dans un monde sans adulte. Pour simpliste qu'elle soit, l'équation parents=répression est au centre de cette farce qui relève de la plus haute démagogie. Parfaitement invraisemblable, le scénario n'offre aucun développement dramatique digne de ce nom, se contentant plutôt d'enfiler des vignettes à l'humour infantile. Signant une mise en scène banale et anonyme, le réalisateur permet à Christopher Lloyd de cabotiner allègrement sans lui offrir un matériel susceptible de mettre en valeur ses talents de comique.

Texte : Martin Girard

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