8 Secondes (8 Seconds)

Name: 8 Secondes
Director: John G. Avildsen
Genre: Drame biographique
Duration: 103 min.

É.-U. 1994. Drame biographique de John G. Avildsen avec Luke Perry, Stephen Baldwin, Cynthia Geary. Les tribulations d'un jeune champion de rodéo qui cherche à gagner l'admiration de son père. Transposition mélodramatique d'une histoire vécue. Intrigue prévisible et répétitive. Traitement empreint de nostalgie. Jeu sensible de L. Perry.

8 Secondes (8 Seconds)

Général

É.-U. 1994. Drame biographique de John G. Avildsen avec Luke Perry, Stephen Baldwin, Cynthia Geary.

Les tribulations d'un jeune champion de rodéo qui cherche à gagner l'admiration de son père. Transposition mélodramatique d'une histoire vécue. Intrigue prévisible et répétitive. Traitement empreint de nostalgie. Jeu sensible de L. Perry.

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Genre :

Année :

Durée :

Réalisation :

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Alliance Vivafilm

Interprètes :

Luke Perry
Stephen Baldwin
Cynthia Geary

Encadré par son père, Lane Frost s'entraîne au rodéo dès son plus jeune âge. Il y excelle d'ailleurs très vite. Doux de caractère, le jeune cow-boy a parfois du mal a se faire accepter par ses compagnons plus machos, mais cela lui vaut les faveurs de sa future femme, Kelly. La carrière de Lane prend de l'essor et il devient champion du monde. Malheureusement, son succès ne l'aide guère à gagner l'admiration complète de son père. Souffrant de ce manque d'amour, Lane en vient presque à saborder son mariage. Lors d'une compétition, le jeune homme fracasse un nouveau record, mais y perd la vie, laissant ainsi son entourage dans le deuil.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Cette transposition d'une histoire vécue n'est ni plus ni moins qu'un banal mélodrame écrit et réalisé sans grande imagination. Les ressorts dramatiques demeurant les mêmes du début à latin, ils rendent l'intrigue aussi prévisible que répétitive. Le développement superficiel des personnages n'arrange en rien ce constat. Tout au plus décèle-t-on une tentative de la part des auteurs de souligner tes aspects archétypaux de la vie de leur héros pour mieux l'inscrire dans les codes du western. Le traitement des couleurs et la musique emphatique de Bill Conti achèvent de conférer au film son allure nostalgique. Luke Perry joue avec sensibilité.

Texte : Johanne Larue

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