The Trial

Name: Trial, The
Director: David Jones
Genre: Drame
Duration: 118 min.

G.-B. 1993. Drame de David Jones avec Kyle MacLachlan, Jason Robards, Juliet Stevenson. Un homme en état d'arrestation n'arrive pas à savoir de quel crime on l'accuse. Adaptation édulcorée et conventionnelle du classique de Franz Kafka. Mise en scène plutôt lourde. Talent d'excellents acteurs gaspillé.

The Trial (The Trial)

Général

G.-B. 1993. Drame de David Jones avec Kyle MacLachlan, Jason Robards, Juliet Stevenson.

Un homme en état d'arrestation n'arrive pas à savoir de quel crime on l'accuse. Adaptation édulcorée et conventionnelle du classique de Franz Kafka. Mise en scène plutôt lourde. Talent d'excellents acteurs gaspillé.

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Genre :

Drame

Année :

1993

Durée :

118 min.

Réalisation :

David Jones

Scénario :

Harold Pinter
D'après le roman de Franz Kafka

Photographie :

Phil Meheux

Musique :

Carl Davis

Montage :

John Stothart

Pays :

Grande-Bretagne

Distributeur :

C/FP

Interprètes :

Kyle MacLachlan
Jason Robards
Juliet Stevenson

Josef K mène une vie rangée. Il est clerc dans une banque importante de Prague et travaille consciencieusement. Pourtant, un matin, des agents de la police secrète le réveillent et l'arrêtent sans pour autant lui dire pourquoi. Josef K se rend devant le juge d'instruction, une expérience qui s'avère bizarre et traumatisante, et n'obtient guère pius d'information. Il cherche alors un avocat mais ce dernier l'effraie encore plus. Rien n'a plus de sens pour le jeune homme jusqu'à ce qu'il rencontre un prêtre, qui ne le réconforte pas, mais l'éclairé quant à l'issue inéluctable de sa mésaventure. Quelque temps plus tard, Josef K est tué par la police.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Malgré tout le talent de l'équipe rassemblée pour cette nouvelle adaptation cinématographique du classique de Franz Kafka, THE TRIAL n'impressionne pas. Le scénario de Pinter respecte la lettre de l'original, mais ne renouvelle en rien son esprit. Quant à la mise en scène, elle possède la lourdeur et le manque d'originalité esthétique de la plupart des productions télévisuelles. L'ensemble se veut évidemment de qualité mais la banalité du traitement dessert les intentions des auteurs. De moderne et terrifiante, l'oeuvre de Kafka devient ici édulcorée et conventionnelle. D'excellents acteurs y gaspillent leur talent.

Texte : Johanne Larue

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