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The Secret Rapture

G.-B. 1993. Drame psychologique de Howard Davies avec Juliet Stevenson, Joanne Whalley, Penelope Wilton. L'arrivée d'une jeune belle-mère en deuil a des conséquences malheureuses sur la vie conjugale et professionnelle d'un couple. Adaptation d'une pièce de théâtre. Péripéties progressant à pas feutrés. Personnages bien cernés. Atmosphère bien rendue. Acteurs fort talentueux.

13 ans + (érotisme)
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The Secret Rapture (The Secret Rapture)

13 ans + (érotisme) 13 ans + (érotisme)

G.-B. 1993. Drame psychologique de Howard Davies avec Juliet Stevenson, Joanne Whalley, Penelope Wilton.

L'arrivée d'une jeune belle-mère en deuil a des conséquences malheureuses sur la vie conjugale et professionnelle d'un couple. Adaptation d'une pièce de théâtre. Péripéties progressant à pas feutrés. Personnages bien cernés. Atmosphère bien rendue. Acteurs fort talentueux.

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Del Fuego
A la mort de leur père, Isobel et Marion se préoccupent du sort de leur jeune belle-mère Katherine qui se retrouve démunie. Par loyauté envers le défunt, Isobel accueille la veuve chez elle, et cela malgré les protestations de son mari Patrick avec qui elle dirige une petite entreprise. Ce dernier accepte pourtant, contre l'avis d'Isobel, que Marion et son mari Tom investissent dans leur compagnie dont Katherine devient une des dirigeantes. Tous ces changements auront des conséquences malheureuses sur la vie conjugale et professionnelle du jeune couple.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le dramaturge David Hare a transposé consciencieusement au grand écran le texte de sa pièce, un drame familial peuplé de personnages secrètement désespérés. Comme dans la plupart des adaptations filmiques d'une oeuvre théâtrale, le scénario repose essentiellement sur les dialogues dans des face-à-face qui font la part belle aux performances d'acteurs fort talentueux. D'ailleurs, ces derniers ont l'avantage de travailler à partir de personnages bien cernés au fil de péripéties qui progressent à pas feutrés. Cependant, la conclusion déçoit un peu, car elle ne résout pas complètement les enjeux du drame. Bien qu'un peu lourde, la réalisation démontre un bon sens de l'atmosphère.

Texte : Martin Girard

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