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Monolithe (Monolith)

É.-U. 1993. Science-fiction de John Eyres avec Bill Paxton, Lindsay Frost, John Hurt. Un détective et sa partenaire découvrent l'existence d'une entité extraterrestre capable de s'incarner dans le corps de ses victimes. Hybride improbable des films "Lethal Weapon" et "The Hidden". Manque navrant d'originalité. Réalisation mécanique. Acteurs talentueux laissés à eux-mêmes.

13 ans + (violence)
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Monolithe (Monolith)

13 ans + (violence) 13 ans + (violence)

É.-U. 1993. Science-fiction de John Eyres avec Bill Paxton, Lindsay Frost, John Hurt.

Un détective et sa partenaire découvrent l'existence d'une entité extraterrestre capable de s'incarner dans le corps de ses victimes. Hybride improbable des films "Lethal Weapon" et "The Hidden". Manque navrant d'originalité. Réalisation mécanique. Acteurs talentueux laissés à eux-mêmes.

Genre :
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Montage :
Le détective Tucker et sa partenaire Terri Flynn enquêtent sur le geste insolite d'une scientifique russe, Katia Pavlova, qui a tué un garçon en apparence inoffensif. Le gamin se révèle toutefois possédé par une entité extraterrestre qui a tôt fait de s'emparer d'un autre corps vivant. Tucker et Flynn soupçonnent le patron de Pavlova, un haut gradé des services secrets nommé Villano, d'être mêlé à l'affaire. Ce dernier élimine d'ailleurs toute trace de l'incident, mais sans réussir à mettre la main sur l'entité. Se déplaçant de corps en corps, la chose envahit finalement Tucker. Flynn n'a plus que deux heures pour sauver son compagnon.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Hybride improbable de LETHAL WEAPON et de THE HIDDEN, ce thriller indigeste et conventionnel constitue un collage imbuvable de scènes connues, propices à l'action et à la violence d'usage. On ne compte plus les références et les clins d'oeil par trop évidents à d'autres films, ce qui souligne un manque navrant d'originalité. Flanquée d'un scénario standard aux répliques prévisibles et d'une musique racoleuse, la réalisation se contente d'être mécanique et sans surprise. Quant aux personnages, ils sont tellement stéréotypés qu'ils basculent carrément dans la caricature. Laissés à eux-mêmes, des acteurs talentueux jouent sans conviction.

Texte : André Caron

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