Mina Tannenbaum

Name: Mina Tannenbaum
Director: Martine Dugowson
Genre: Comédie dramatique
Duration: 130 min.

Fr. 1993. Comédie dramatique de Martine Dugowson avec Romane Bohringer, Elsa Zylberstein, Jean-Philippe Ecoffey. Les hauts et les bas de l'amitié entre deux jeunes Parisiennes juives nées le même jour à la fin des années 50. Alliage harmonieux de sensibilité et de légèreté. Mise en scène assurée. Solides performances des deux protanogistes.

Mina Tannenbaum (Mina Tannenbaum)

Général

Fr. 1993. Comédie dramatique de Martine Dugowson avec Romane Bohringer, Elsa Zylberstein, Jean-Philippe Ecoffey.

Les hauts et les bas de l'amitié entre deux jeunes Parisiennes juives nées le même jour à la fin des années 50. Alliage harmonieux de sensibilité et de légèreté. Mise en scène assurée. Solides performances des deux protanogistes.

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Genre :

Comédie dramatique

Année :

1993

Durée :

130 min.

Réalisation :

Martine Dugowson

Pays :

France

Distributeur :

C/FP

Interprètes :

Romane Bohringer
Elsa Zylberstein
Jean-Philippe Ecoffey

Dans le Paris de la fin des années 50, naissent le même jour Mina Tannenbaum et Ethel Bénégui. Les deux fillettes juives font connaissance à l'âge de huit ans lors d'un cours de ballet et deviennent tout de suite amies. A l'adolescence, complexées et maladroites, elles vivent difficilement leurs premières relations amoureuses. Quinze ans plus tard, Mina, devenue peintre, aime secrètement son associé, le marchand de tableaux Jacques Dana. Mais lorsque Ethel lui annonce qu'elle compte épouser ce dernier, c'est la rupture entre les deux femmes. Deux ans plus tard, le jour où elles devaient célébrer leur réconciliation, Ethel fait faux bond à Mina. Désespérée, la jeune peintre décide alors de mettre fin à ses jours.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Cadreuse de formation, Martine Dugowson signe là son premier long métrage qui allie harmonieusement sensibilité et légèreté. Sur un ton résolument personnel, elle a su relever le défi de raconter sans temps mort une longue et cahoteuse relation d'amitié entre deux femmes d'origine juive. On peut déceler une réelle aisance dans la mise en scène, bien que certains procédés stylistiques plus ou moins intégrés à l'action peuvent lasser à la longue. D'autre part, il subsiste quelques petites incohérences au plan scénaristique si, comme le laisse entendre la dernière image, ce récit est narré par le personnage de la cousine de Mina. Romane Bohringer et Eisa Zylbertein offrent de solides performances dans des rôles assez exigeants.

Texte : Louis-Paul Rioux

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