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Mi vida loca

É.-U. 1993. Drame de moeurs de Allison Anders avec Angel Aviles, Seidy Lopez, Marlo Marron. Deux jeune femmes qui ont eu chacune un enfant du même homme oublient leurs rivalités et décident de s'entraider quand le père est assassiné. Regard empreint de tendresse sur un milieu défavorisé. Rythme hésitant. Mise en scène assez terne malgré quelques envolées poétiques. Interprétation un peu maladroite.

Général
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Mi vida loca (Mi vida loca)

Général Général

É.-U. 1993. Drame de moeurs de Allison Anders avec Angel Aviles, Seidy Lopez, Marlo Marron.

Deux jeune femmes qui ont eu chacune un enfant du même homme oublient leurs rivalités et décident de s'entraider quand le père est assassiné. Regard empreint de tendresse sur un milieu défavorisé. Rythme hésitant. Mise en scène assez terne malgré quelques envolées poétiques. Interprétation un peu maladroite.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Lion's Gate
Sad Girl et Mousie sont deux amies qui font partie d'un gang de filles à Echo Park, le quartier hispanique de Los Angeles. Mais pour l'heure, elles se disputent farouchement l'amour d'Ernesto, un jeune chef de gang dont elles ont chacune un enfant. Lorsque ce dernier est assassiné, elles font toutefois cause commune pour subvenir aux besoins de leur progéniture. Justement, Giggle, un membre de leur gang, leur révèle qu'Ernesto possédait une magnifique camionnette d'une grande valeur marchande. Cependant, le précieux véhicule est également convoité par les amis d'Ernesto, ainsi que par la bande rivale du redoutable El Duran.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Tout aussi personnel que GAS, FOOD, LODGING, son premier long métrage remarqué par la critique, ce nouveau film d'Allison Anders pose un regard empreint de tendresse sur un milieu méconnu, celui des gangs de filles d'un quartier défavorisé. Malheureusement, force est de constater que la réalisatrice maîtrise avec peine un récit au rythme hésitant, constitué d'un enchevêtrement d'intrigues pas toujours passionnantes. Bien que se révélant dans l'ensemble assez terne, la mise en scène se distingue toutefois lors de rares envolées poétiques ainsi que par sa façon toute pudique d'illustrer les scènes de violence. A force de se vouloir naturelle, l'interprétation verse davantage dans la banalité et la maladresse.

Texte : Louis-Paul Rioux

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