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Marie

Bel. 1993. Drame de Marian Handwerker avec Marie Gillain, Alessandro Sigona, Aurore Clément. Après la mort de son père, un gamin est pris en charge par une jeune fugueuse qui décide de l'emmener au Portugal où vit la mère de l'enfant. Road movie au ton quelque peu naïf. Développements plutôt répétitifs. Quelques jolies scènes de tendresse. Bonne mise en valeur du décor. Protagonistes charmants.

Général
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Marie (Marie)

Général Général

Bel. 1993. Drame de Marian Handwerker avec Marie Gillain, Alessandro Sigona, Aurore Clément.

Après la mort de son père, un gamin est pris en charge par une jeune fugueuse qui décide de l'emmener au Portugal où vit la mère de l'enfant. Road movie au ton quelque peu naïf. Développements plutôt répétitifs. Quelques jolies scènes de tendresse. Bonne mise en valeur du décor. Protagonistes charmants.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Ciné 360
Marie est une jeune fille de 17 ans qui refuse de se faire avorter comme sa mère l'exige. L'adolescente fait une fugue en compagnie de Paulo, un dealer, qui se propose de l'emmener a Bruxelles. Mais ce dernier meurt dans un accident de la route et Marie se retrouve seule dans la grande ville en compagnie de Tonio, le petit garçon de Paulo. Elle décide alors de prendre la route avec l'enfant afin de rejoindre la mère du gamin qui vit au Portugal. Durant leur voyage, malgré des moments de discorde, Marie et Tonio se lient d'une grande amitié qui prend parfois l'allure d'une relation mère-fils. L'adolescente demeure cependant bien décidée à se séparer du garçon une fois à destination, mais une surprise l'attend.

L’AVIS DE MEDIAFILM

L'histoire débute de façon quelque peu boiteuse et s'avère légèrement naïve par la suite. Il s'agit d'un road movie où les paysages sont d'ailleurs plus variés que ne le sont les situations décrivant la relation entre les deux héros. Ce côté plutôt répétitif du scénario ne permet pas toujours aux personnages d'évoluer autant qu'on pourrait le souhaiter. Comme en plus l'auteur favorise parfois le mélodrame au détriment de l'authenticité, le résultat demeure dans l'ensemble inégal. Le film contient pourtant un bon nombre de jolies scènes de tendresse qui profitent amplement du charme naturel des deux protagonistes et la mise en images tire fort bien avantage des nombreux lieux où se déroule l'action.

Texte : Martin Girard

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