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Les Pots cassés

Can. 1993. Comédie dramatique de François Bouvier avec Gilbert Sicotte, Marie Tifo, Marc Messier. Un homme d'affaires taciturne qui rêve de devenir romancier et son épouse au tempérament suicidaire traversent une crise conjugale. Sujet abordé sur le ton de la fantaisie et de l'absurde. Dialogues bien écrits mais surabondants. Mise en scène plutôt terne. Jeu pince-sans-rire des comédiens.

Général
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Les Pots cassés (Les Pots cassés)

Général Général

Can. 1993. Comédie dramatique de François Bouvier avec Gilbert Sicotte, Marie Tifo, Marc Messier.

Un homme d'affaires taciturne qui rêve de devenir romancier et son épouse au tempérament suicidaire traversent une crise conjugale. Sujet abordé sur le ton de la fantaisie et de l'absurde. Dialogues bien écrits mais surabondants. Mise en scène plutôt terne. Jeu pince-sans-rire des comédiens.

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Allegro
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Robert est un homme d'affaires plutôt taciturne marié à une romancière, Marianne, laquelle souffre présentement d'une dépression qui la rend suicidaire. Tous les midis, Robert se rend dans un petit hôtel où il écrit secrètement un roman. Un jour, il accepte de dépanner une jeune serveuse, Céline, en lui permettant d'habiter temporairement la chambre. Marianne découvre le secret de son mari qu'elle soupçonne injustement d'infidélité. Elle le quitte pour aller retrouver Gérald, un comédien qui l'a déjà sauvée lors d'une tentative de suicide et qui lui voue un amour absolu. De son côté, Robert est pourchassé par le compagnon de Céline, un motard jaloux et violent. Les deux époux finiront par se retrouver, mais non sans difficultés.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le scénario procède d'une démarche assez originale dans sa façon d'aborder la crise existentielle d'un couple sur le ton de la fantaisie, voire de l'absurde. Malheureusement, si l'équilibre entre la comédie et le drame est maintenu de façon constante, l'ensemble ne s'avère pourtant pas particulièrement drôle ou émouvant. C'est que l'accent est mis sur l'excentricité un peu trop fabriquée des personnages qui se révèlent vite unidimensionnels. Alourdie par une surabondance de dialogues, au demeurant bien écrits, la mise en scène reste molle et plutôt terne. C'est dommage, car les interprètes ont un jeu pince-sans-rire assez savoureux qui méritait mieux.

Texte : Martin Girard

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