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Le Retour des morts-vivants 3 (Return of the Living Dead 3)

É.-U. 1993. Drame d'horreur de Brian Yuzna avec Melinda Clarke, J. Trevor Edmond, Kent McCord. Ayant perdu sa petite amie dans un accident de la route, un adolescent l'expose à un gaz qui la transforme en morte-vivante. Scénario laborieux peuplé de personnages niais. Mise en scène pesante. Jeunes comédiens peu convaincants.

18 ans + (violence, horreur)
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Le Retour des morts-vivants 3 (Return of the Living Dead 3)

18 ans + (violence, horreur) 18 ans + (violence, horreur)

É.-U. 1993. Drame d'horreur de Brian Yuzna avec Melinda Clarke, J. Trevor Edmond, Kent McCord.

Ayant perdu sa petite amie dans un accident de la route, un adolescent l'expose à un gaz qui la transforme en morte-vivante. Scénario laborieux peuplé de personnages niais. Mise en scène pesante. Jeunes comédiens peu convaincants.

Genre :
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Grâce à un gaz mystérieux, les morts reprennent vie et sont poussés à dévorer les vivants. Les militaires ont réussi à confiner les monstres dans un laboratoire où l'on tente de mettre au point une arme capable de les neutraliser. Ayant perdu sa petite amie Julie dans un accident de la route, Curt, le fils adolescent d'un des chercheurs, décide de lui redonner vie en l'exposant au gaz. Devenue morte-vivante, Julie risque de contaminer tous les humains qu'elle rencontre. Pour semer les militaires, les deux jeunes s'aventurent dans un quartier mal famé où une bande de voyous les poursuit jusque dans les égouts. Un affrontement devient alors inévitable entre ces bandits et Julie dont la monstruosité s'intensifie à vue d'oeil.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le premier épisode de la série proposait un mélange assez réjouissant d'horreur et de comédie, agrémenté d'une satire décapante des militaires. Le numéro deux s'est avéré par contre parfaitement grotesque, et ce troisième volet ne constitue certainement pas une très grande amélioration. Les données de base sont pourtant valables, le film s'ouvrant sur des scènes qui accrochent fortement l'intérêt du spectateur. Mais la suite devient parfaitement indigeste: développements narratifs laborieux, personnages niais, effets-chocs poussifs, mise en scène pesante, etc. Les jeunes comédiens semblent convaincus, sans être bien convaincants pour autant.

Texte : Martin Girard

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