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Le Mythe de l'orgasme masculin (The Myth of the Male Orgasm)

Can. 1993. Comédie de moeurs de John Hamilton avec Bruce Dinsmore, Miranda de Pencier, Mark Camacho. Un professeur de 30 ans participe à une étude portant sur le comportement sexuel des hommes. Comique reposant sur une confrontation entre un féminisme agressif et un machisme convenu. Sujet abordé superficiellement. Mise en scène anonyme. Interprétation dans le ton voulu.

Général
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Le Mythe de l'orgasme masculin (The Myth of the Male Orgasm)

Général Général

Can. 1993. Comédie de moeurs de John Hamilton avec Bruce Dinsmore, Miranda de Pencier, Mark Camacho.

Un professeur de 30 ans participe à une étude portant sur le comportement sexuel des hommes. Comique reposant sur une confrontation entre un féminisme agressif et un machisme convenu. Sujet abordé superficiellement. Mise en scène anonyme. Interprétation dans le ton voulu.

Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
C/FP
Jimmy, un professeur de 30 ans, participe à une étude universitaire portant sur le comportement sexuel des hommes. Interrogé par une intervenante anonyme qu'il baptise Jane Doe, il se dévoile lentement, se rebutant parfois devant la mauvaise foi de son interlocutrice. Entre les séances, Jimmy se consacre à ses amis: ses deux co-locataires machos, ainsi que sa copine Mimi, dont il est secrètement amoureux. Invitée par hasard a une soirée que donnent Jimmy et ses amis, Jane Doe entreprend d'observer son sujet et prend soudain conscience de la sincérité de ce dernier qui s'apprête à ouvrir son coeur à Mimi.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Bien que le titre laisse croire à une étude sur le comportement sexuel des hommes, le film fait plutôt le procès d'un certain féminisme agressif auquel il oppose, dans le seul but de faire rire, le machisme le plus convenu. Ces deux pôles laissent finalement peu de place aux questions essentielles que le film prétend poser. Il est, de plus, curieux que le cadre de vie des protagonistes jure à ce point avec leur personnalité peu raffinée. Dans l'ensemble, la mise en scène anonyme répond aux standards télévisuels canadiens. Mais, il est dommage que la bande son, entièrement recréée en post-synchronisation, en vienne à gommer toutes les ambiances, éliminant ainsi le paysage sonore. La distribution, pour sa part, joue dans le ton voulu.

Texte : Martin Bilodeau

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