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Le Justicier: l'ultime combat (Death Wish V: The Face of Death)

Mercredi 29 Mai à 22:35 | CinépopSamedi 25 Mai à 21:00 | Canal Z

Can. 1993. Thriller de Allan A. Goldstein avec Charles Bronson, Michael Parks, Lesley-Anne Down. Un justicier ne recule devant rien pour venger la mort de sa fiancée qui a été assassinée par son ex-mari, un gangster de Manhattan. Remixage des thèmes des épisodes précédents. Climat de violence glorifiée. Mise en scène pauvre et sans originalité. Jeu monolithique de C. Bronson.

16 ans + (violence)
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Le Justicier: l'ultime combat (Death Wish V: The Face of Death)

16 ans + (violence) 16 ans + (violence)

Can. 1993. Thriller de Allan A. Goldstein avec Charles Bronson, Michael Parks, Lesley-Anne Down.

Un justicier ne recule devant rien pour venger la mort de sa fiancée qui a été assassinée par son ex-mari, un gangster de Manhattan. Remixage des thèmes des épisodes précédents. Climat de violence glorifiée. Mise en scène pauvre et sans originalité. Jeu monolithique de C. Bronson.

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Distributeur :
C/FP
Après avoir promis à la police de laisser définitivement ses armes au vestiaire, le justicier Paul Kersey s'apprête à convoler en justes noces avec la vedette de la haute couture, Olivia Regent. Celle-ci a cependant des ennuis avec son ex-mari Tommy O'Shea, un gangster qui veut prendre le contrôle de toute l'industrie de la mode à Manhattan. Lorsqu'après avoir été défigurée, Olivia accepte de témoigner contre le gredin, ce dernier la fait assassiner par ses sbires. Manquant de preuves, la police reste impuissante. Kersey décide alors de faire le grand nettoyage, d'autant qu'O'Shea a réussi à lui ravir la garde de la fille d'Olivia.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Depuis trop longtemps, Charles Bronson a choisi comme véhicule de sa carrière finissante cette série qui glorifie la violence au nom de bas instincts de vengeance. Il est désolant qu'une star pâlisse au point de gaspiller ainsi son talent. À bout de souffle, l'auteur ne semble avoir eu d'autre alternative que de remixer grosso modo les thèmes des épisodes précédents en les mâtinant de quelques éléments racoleurs de plus. Cette absence d'inspiration de Goldstein rivalise avec la parfaite pauvreté de sa mise en scène qui se laisse aller à toutes les facilités. Outre Bronson, qui promène son allure de monolithe avec toute la richesse d'expression dont est capable un tel objet, l'interprétation comprend quelques acteurs qui mériteraient meilleure pitance.

Texte : Christian Depoorter

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