Le Journal de Lady M

Name: Journal de Lady M, Le
Director: Alain Tanner
Genre: Drame
Duration: 113 min.

Suis. 1993. Drame de Alain Tanner avec Myriam Mézières, Juanjo Puligcorbé, Félicité Wouassi. Après avoir découvert que son amant est père de famille, une chanteuse de cabaret lui suggère de venir habiter chez elle avec sa femme et ses enfants. Traitement littéraire peu propice à la spontanéité émotive. Images alourdies par une narration en voix off. Interprétation moyenne de M. Mézières.

Le Journal de Lady M (Le Journal de Lady M)

16 ans + (érotisme)

Suis. 1993. Drame de Alain Tanner avec Myriam Mézières, Juanjo Puligcorbé, Félicité Wouassi.

Après avoir découvert que son amant est père de famille, une chanteuse de cabaret lui suggère de venir habiter chez elle avec sa femme et ses enfants. Traitement littéraire peu propice à la spontanéité émotive. Images alourdies par une narration en voix off. Interprétation moyenne de M. Mézières.

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Genre :

Drame

Année :

1993

Durée :

113 min.

Réalisation :

Alain Tanner

Pays :

Suisse
Belgique

Distributeur :

Max Films

Interprètes :

Myriam Mézières
Juanjo Puligcorbé
Félicité Wouassi

Lady M chante dans un cabaret parisien. Un soir débarque Diego, un peintre catalan de passage en ville. Une idylle se dessine entre eux, mais Diego doit retourner à Barcelone. Lady M va l'y retrouver, et les deux parcourent l'Espagne en ponctuant leur périple de torrides nuits d'hôtel. Apprenant qu'il est marié et père d'un enfant, Lady M regagne Paris. Se languissant pourtant de Diego, elle lui suggère de venir la visiter avec sa famille. De méfiante qu'elle était, la relation qui s'établit entre l'épouse et Lady M prend une tournure inattendue lorsque les deux femmes repoussent progressivement Diego du lit qu'elles partagent avec lui.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Ce journal, que Lady M rédige de façon ponctuelle tout au long du film, s'apparente plus à un récit littéraire raconté à la première personne qu'à un journal, du fait que les événements y sont relatés rétroactivement dans un esprit d'unité peu propice à la spontanéité émotive. Néanmoins, le grain de l'image contribue à créer l'illusion d'un carnet de route, en conformité avec l'idée du journal, même si certaines séquences sont alourdies par une narration qui confirme l'action montrée. Les passages érotiques paraissent manquer de sincérité, d'autant que l'actrice-scénariste Myriam Mézières, qui s'était déjà fait remarquer dans UNE FLAMME DANS MON COEUR d'Alain Tanner par sa propension à l'exhibitionnisme, n'est pas toujours des plus convaincantes.

Texte : Martin Bilodeau

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