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Le Jardin secret (The Secret Garden)

É.-U. 1993. Conte de Agnieszka Holland avec Kate Maberly, Heydon Prowse, Andrew Knott. Après la mort de ses parents, une fillette vient habiter le château d'un oncle où elle découvre un jardin secret auquel elle redonne vie. Adaptation d'un conte victorien de F. Hodgson Burnett. Illustration rappelant le romantisme de la peinture anglaise du XIXe siècle. Rythme un peu lourd. Interprétation juste.

Général
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Le Jardin secret (The Secret Garden)

Général Général

É.-U. 1993. Conte de Agnieszka Holland avec Kate Maberly, Heydon Prowse, Andrew Knott.

Après la mort de ses parents, une fillette vient habiter le château d'un oncle où elle découvre un jardin secret auquel elle redonne vie. Adaptation d'un conte victorien de F. Hodgson Burnett. Illustration rappelant le romantisme de la peinture anglaise du XIXe siècle. Rythme un peu lourd. Interprétation juste.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Warner Bros.
Après la mort de ses parents, la jeune Mary Lennox va demeurer chez un oncle qu'elle ne connaît pas, dans un château de la campagne anglaise. Mary sent bien qu'on ne veut pas d'elle et, laissée pour compte, décide d'explorer le domaine. C'est ainsi que l'enfant découvre un jardin emmuré, ayant jadis appartenu à sa tante décédée en couches. Par hasard, Mary découvre aussi l'existence de son cousin Colin que l'on garde enfermé dans le château pour des raisons de santé, ce que la fillette ne comprend guère. Par sa présence et ses efforts, Mary redonne vie au jardin secret et incite Colin à l'explorer. C'est alors que le garçon apprend à marcher et renoue finalement avec son père qui n'attendait plus ce miracle.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Sous l'égide de Francis Ford Coppola, la réalisatrice de EUROPA, EUROPA s'est essayée à une adaptation assez somptueuse du conte victorien de Frances Hodgson Burnett. Plutôt sombre et romantique, THE SECRET GARDEN plaira plus aux adultes qu'aux enfants bien que le sentimentalisme du traitement n'en fasse pas un film très sophistiqué. La mise en scène souffre d'une certaine lourdeur, tout comme le rythme d'ailleurs, mais la réalisation demeure attentive et parfois inventive. La cinématographie, ainsi que les décors et costumes, rappellent le romantisme de la peinture anglaise du siècle dernier. L'interprétation adopte un ton juste.

Texte : Johanne Larue

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