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Le Destructeur (Demolition Man)

É.-U. 1993. Science-fiction de Marco Brambilla avec Sylvester Stallone, Wesley Snipes, Sandra Bullock. En 2032, un policier et un psychopathe meurtrier s'affrontent à Los Angeles après avoir passé 36 ans dans un état d'hibernation artificielle. Accent mis sur l'action, la violence et l'humour. Quelques détails futuristes imaginatifs. Technique au point. Jeu simpliste des interprètes.

13 ans +
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Le Destructeur (Demolition Man)

13 ans + 13 ans +

É.-U. 1993. Science-fiction de Marco Brambilla avec Sylvester Stallone, Wesley Snipes, Sandra Bullock.

En 2032, un policier et un psychopathe meurtrier s'affrontent à Los Angeles après avoir passé 36 ans dans un état d'hibernation artificielle. Accent mis sur l'action, la violence et l'humour. Quelques détails futuristes imaginatifs. Technique au point. Jeu simpliste des interprètes.

Traqué par le sergent Spartan, le psychopathe Simon Phoenix provoque la mort de plusieurs victimes innocentes avant d'être finalement appréhendé. Reconnu coupable de négligence criminelle dans cette affaire, Spartan est condamné, comme Phoenix, à la prison cryogénique, dans un centre où les criminels sont placés en état d'hibernation artificielle. Trente-six ans plus tard, Phoenix réussit à s'évader et découvre alors que la Californie est devenue une société où le crime n'existe plus. Rien ni personne ne semble pouvoir l'arrêter dans ses nouveaux desseins meurtriers, sauf Spartan que les autorités se décident à décongeler.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Toute la première moitié du film fait montre d'une dose appréciable d'originalité dans le traitement des thèmes de science-fiction, particulièrement dans certains détails futuristes fort imaginatifs. Mais les auteurs ne continuent pas vraiment sur cette lancée. Leur conception d'une société de demain se limite finalement à quelques données simplistes, juste de quoi planter un décor pour les scènes d'action qui prennent vite le dessus. Mené rondement, le film reste au niveau d'une bande dessinée qui ne se prend pas trop au sérieux, mais dont l'humour côtoie une grande violence. Techniquement, l'ensemble fait illusion, mais on ne saurait en dire autant du jeu simpliste des interprètes.

Texte : Martin Girard

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