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La Vraie de vraie (The Real McCoy)

É.-U. 1993. Drame policier de Russell Mulcahy avec Kim Basinger, Val Kilmer, Terence Stamp. À sa sortie de prison, une cambrioleuse est forcée de collaborer à un vol de banque lorsque son ex-employeur kidnappe son fils. Accumulation d'invraisemblances et de faiblesses narratives. Intrigue familiale superficielle. Dialogues manquant d'esprit. Réalisation sans relief. Talent des interprètes gaspillé.

Général
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La Vraie de vraie (The Real McCoy)

Général Général

É.-U. 1993. Drame policier de Russell Mulcahy avec Kim Basinger, Val Kilmer, Terence Stamp.

À sa sortie de prison, une cambrioleuse est forcée de collaborer à un vol de banque lorsque son ex-employeur kidnappe son fils. Accumulation d'invraisemblances et de faiblesses narratives. Intrigue familiale superficielle. Dialogues manquant d'esprit. Réalisation sans relief. Talent des interprètes gaspillé.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Universal
A sa sortie de prison, Karen McCoy ne pense qu'à revoir son fils Patrick et à vivre une vie rangée. Les événements prennent cependant une tournure bien différente. Karen apprend de la bouche de son ex-mari que leur fils la croit morte, tandis que son ex-employeur Jack Schmidt la supplie d'organiser un nouveau vol de banque. Karen refuse mais Jack la force à collaborer en kidnappant le jeune Patrick. Pour la seconder, et comploter contre Jack en catimini, la jeune femme invite J.T. Barker, un escroc naïf, à se joindre à son équipe de cambrioleurs. La nuit du vol venue, Barker espère pouvoir se sauver avec le magot tout en favorisant la réunion de Karen avec son enfant.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Outre le professionnalisme à peine adéquat de la production, on ne trouve rien à dire de positif sur THE REAL MCCOY. Trop mou pour satisfaire aux exigences du film d'action et trop superficiel pour espérer toucher le spectateur avec son semblant d'intrigue familiale, le film déçoit sur toute la ligne. Le récit accumule a volonté les invraisemblances et les faiblesses narratives. Le ton se veut parfois léger mais les dialogues manquent tellement d'esprit que la comédie ne peut qu'avorter. Finalement, Mulcahy semble avoir perdu le goût de l'effervescence qui caractérisait sa mise en scène dans HIGHLANDER et RICOCHET. De bons interprètes gaspillent inutilement leur talent.

Texte : Johanne Larue

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