Go to main content
5

La Vengeance d'une blonde

Fr. 1993. Comédie de moeurs de Jeannot Szwarc avec Christian Clavier, Marie-Anne Chazel, Clémentine Célarié. Un présentateur de journal télévisé s'engage dans une course au succès qui menace de briser son mariage et de ruiner sa réputation. Satire en demi-teinte du monde de la télévision. Humour manquant de mordant. Mise en scène un peu trop sage. Jeu sympathique des interprètes.

Général
5

La Vengeance d'une blonde (La Vengeance d'une blonde)

Général Général

Fr. 1993. Comédie de moeurs de Jeannot Szwarc avec Christian Clavier, Marie-Anne Chazel, Clémentine Célarié.

Un présentateur de journal télévisé s'engage dans une course au succès qui menace de briser son mariage et de ruiner sa réputation. Satire en demi-teinte du monde de la télévision. Humour manquant de mordant. Mise en scène un peu trop sage. Jeu sympathique des interprètes.

Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Alliance Vivafilm
Présentateur du journal télévisé d'une station de Bretagne, Gérard Bréha vient d'être engagé par l'importante chaîne privée TV8, car il serait le journaliste type que le public apprécie. En hausse depuis son arrivée, l'audimat le propulse aux nouvelles de 20 heures. Cette promotion rapide excite Marie-Ange, la directrice de l'information, qui voit en son poulain un parfait amant. Tout cela n'est pas pour plaire à Corine, l'épouse de la nouvelle vedette du petit écran, qui, après tant de sacrifices, est prête à rompre. Les choses se compliquent lorsque l'interview accordée à Gérard par les terroristes de YAM est interrompue par une descente de police. Le scandale risque d'entacher l'intégrité de Gérard.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Après le succès de Christian Clavier dans LES VISITEURS, on se préparait à s'esclaffer sur sa prestation dans cette satire du monde de l'audiovisuel. Peine perdue, cette Vengeance ne se fait pas à feu roulant de gags. Au contraire, du côté de l'humour, la volonté d'innover serait plutôt timide. Cette production navigue loin derrière certaines de ses consoeurs bien plus accrocheuses et mordantes dont la bande du Splendid a auparavant gratifié le public. Sur un thème déjà fort visité par les humoristes de tous poils, les scénaristes n'ont pondu qu'une satire en demi-teinte, plutôt décalée par rapport à la réalité. Même absence de renouvellement du côté de la mise en scène qui se contente de suivre sagement les efforts sympathiques d'acteurs au demeurant fort bons.

Texte : Christian Depoorter

L'infolettre de Mediafilm

Pour être tenus informés des sorties de films, toutes plateformes confondues, rien de mieux que l'info-lettre de Mediafilm. Abonnez-vous. C'est gratuit!

CONTACTEZ-NOUS

1340, boulevard St-Joseph Est, Montréal
Québec (Canada) H2J 1M3