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La Recrue de l'année (Rookie of the Year)

É.-U. 1993. Comédie de Daniel Stern avec Thomas Ian Nicholas, Gary Busey, Albert Hall. Rétabli d'une fracture du bras droit, un jeune amateur de baseball découvre l'extrême rapidité de son lancer, ce qui lui vaut d'être engagé par une équipe de Chicago. Scénario aux personnages unidimensionnels. Ton alerte et léger. Mise en scène fonctionnelle. Interprétation statique.

Général
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La Recrue de l'année (Rookie of the Year)

Général Général

É.-U. 1993. Comédie de Daniel Stern avec Thomas Ian Nicholas, Gary Busey, Albert Hall.

Rétabli d'une fracture du bras droit, un jeune amateur de baseball découvre l'extrême rapidité de son lancer, ce qui lui vaut d'être engagé par une équipe de Chicago. Scénario aux personnages unidimensionnels. Ton alerte et léger. Mise en scène fonctionnelle. Interprétation statique.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
20th Century Fox
Le petit Henry Rowengartner qui vit avec sa mère à Chicago semble apparemment peu doué pour le baseball. A la suite d'une fracture du bras droit, il découvre avec stupeur l'extrême rapidité de son membre maintenant guéri. Lors d'un match des Cubs, alors qu'il retourne une balle perdue, Henry provoque l'étonnement général par un lancer foudroyant. Ce coup lui vaut d'être mis instantanément sous contrat par l'entremise de Jack, l'ami de coeur de sa mère, qui s'improvise gérant. Sur les conseils de Chet Steadman, un lanceur vedette sur le déclin, Henry perfectionne son art tout en tentant de rapprocher sa mère de cet homme qu'il admire. Jaloux de Chet, Jack vend secrètement Henry aux Mets de New York.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Première réalisation de Daniel Stern, acteur connu pour sa participation, entre autres, à HOME ALONE et CITY SLICKERS, ce film s'inscrit directement dans le style des productions Disney. En effet, le scénario présente différentes situations issues de l'imaginaire d'enfants pré-pubères et s'amuse à les confronter à la réalité du monde des adultes, sur un ton alerte et léger. La mise en scène fonctionnelle fait en sorte que l'histoire se laisse facilement suivre grâce, en particulier, à un montage serré, même si la présentation de personnages unidimensionnels, souvent caricaturaux, ne s'embarrasse guère de réalisme psychologique. Cet ensemble fort moyen donne lieu à une interprétation statique et remplie de clichés dont le personnage joué par Stern est le summum.

Texte : Yves Rivard

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