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La Grosse Pastèque (Il Grande Cocomero)

It. 1993. Drame social de Francesca Archibugi avec Sergio Castellitto, Alessia Fugardi, Anna Galiena. Une adolescente qui souffre d'épilepsie parvient à s'épanouir au contact d'autres patients grâce aux soins d'un médecin attentif. Approche sensible et humaine du sujet. Personnages bien cernés. Mise en scène attentive aux détails. Rythme un peu lent. Interprétation frappante de justesse.

Général
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La Grosse Pastèque (Il Grande Cocomero)

Général Général

It. 1993. Drame social de Francesca Archibugi avec Sergio Castellitto, Alessia Fugardi, Anna Galiena.

Une adolescente qui souffre d'épilepsie parvient à s'épanouir au contact d'autres patients grâce aux soins d'un médecin attentif. Approche sensible et humaine du sujet. Personnages bien cernés. Mise en scène attentive aux détails. Rythme un peu lent. Interprétation frappante de justesse.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Malofilm
Lorsque Pipi fait une nouvelle crise d'épilepsie, ses parents l'emmènent d'urgence dans un hôpital de Rome. Par erreur, on envoie l'adolescente au département de neuropsychiatrie où le docteur Arturo décide tout de même de la soigner. Ce dernier comprend très vite que Pipi souffre de problèmes complexes que ses parents, mal assortis, ne soupçonnent même pas. Grâce aux soins du médecin et au contact des autres patients, Pipi commence à s'épanouir. Arturo, quant à lui, doit jongler avec les problèmes de sa vie sentimentale et ceux qui affligent le personnel sous-payé de son département. Malgré tout, la qualité du rapport qui l'unit a ses patients ne se dément pas.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Voilà un drame des plus sensibles qui possède l'humilité de ne pas prétendre pouvoir tout dire sur le sujet sérieux qui le préoccupe, tout en réussissant à bien cerner l'humanité de ses personnages. C'est la plus grande qualité de LA GROSSE PASTÈQUE, qui en compte pourtant d'autres, notamment une mise en scène sobre mais attentive aux détails et une interprétation frappante de justesse. On trouvera certes le rythme un peu lent et certains développements répétitifs mais l'ensemble demeure plaisant et porte à réfléchir sur la psychologie enfantine et la vie affective en général.

Texte : Johanne Larue

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