Go to main content
6

L'Homme météore (Meteor Man)

É.-U. 1993. Comédie fantaisiste de Robert Townsend avec Robert Townsend, Big Daddy Kane, Eddie Griffin. Frappé par un petit météorite, un modeste professeur se découvre d'étonnants pouvoirs. Satire peu inspirée des superhéros de comic books. Péripéties répétitives. Humour volant bas. Quelques trucages valables. Comédiens peu convaincus.

Général (déconseillé aux jeunes enfants)
6

L'Homme météore (Meteor Man)

Général (déconseillé aux jeunes enfants) Général (déconseillé aux jeunes enfants)

É.-U. 1993. Comédie fantaisiste de Robert Townsend avec Robert Townsend, Big Daddy Kane, Eddie Griffin.

Frappé par un petit météorite, un modeste professeur se découvre d'étonnants pouvoirs. Satire peu inspirée des superhéros de comic books. Péripéties répétitives. Humour volant bas. Quelques trucages valables. Comédiens peu convaincus.

Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
MGM
Un soir, alors qu'il est poursuivi par le gang des Golden Lords, Jefferson Reed, un modeste professeur de lycée, est frappé par un petit météorite. Le lendemain, toutes ses blessures ont miraculeusement disparu. De plus, l'enseignant se découvre d'étonnants pouvoirs: il est capable de parler à son chien, il voit à travers les murs, il est doué d'une force colossale et il peut voler malgré le vertige dont il souffre. Revêtu du costume de super-héros que sa mère lui a confectionné, Jefferson s'oppose alors aux Golden Lords, mais sa tâche est compliquée car ses pouvoirs ont besoin d'être régénérés au bout de 30 secondes d'utilisation.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Les super-héros de comic-books ont souvent fait les frais de parodies aussi grotesques que mal
adroites. Si ces personnages archistéréotypés se prêtent volontiers à la satire, les scénaristes sem
blent avoir toujours du mal à en puiser la quintessence comique. L'HOMME MÉTÉORE n'échappe pas 
à cette généralité. Malgré quelques sourires soutirés au passage, l'humour de ce film vole aussi
bas que son héros. Pour intéressant qu'il soit de fustiger le phénomène social des gangs urbains, 
ce thème tend à se perdre dans un amalgame de péripéties répétitives faisant fi de tout scénario un
tant soit peu construit. Seuls certains trucages, qui ne concurrencent certes pas la surenchère ac
tuelle des studios hollywoodiens, viennent de temps en temps attirer l'attention. Une galerie de per
sonnages creux ne sont pas particulièrement joués avec beaucoup de conviction.

Texte : Christian Depoorter

L'infolettre de Mediafilm

Pour être tenus informés des sorties de films, toutes plateformes confondues, rien de mieux que l'info-lettre de Mediafilm. Abonnez-vous. C'est gratuit!

CONTACTEZ-NOUS

1340, boulevard St-Joseph Est, Montréal
Québec (Canada) H2J 1M3