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L'Enfance de l'art (Life with Mickey)

É.-U. 1993. Comédie de James Lapine avec Michael J. Fox, Christina Vidal, Nathan Lane. Une fillette au franc-parler qui a décroché le premier rôle dans une série de publicités de biscuits décide de venir habiter chez son impresario. Une certaine fraîcheur dans la première partie. Scénario rapidement à court d'idées. Réalisation strictement fonctionnelle. Interprétation assez spontanée.

Général
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L'Enfance de l'art (Life with Mickey)

Général Général

É.-U. 1993. Comédie de James Lapine avec Michael J. Fox, Christina Vidal, Nathan Lane.

Une fillette au franc-parler qui a décroché le premier rôle dans une série de publicités de biscuits décide de venir habiter chez son impresario. Une certaine fraîcheur dans la première partie. Scénario rapidement à court d'idées. Réalisation strictement fonctionnelle. Interprétation assez spontanée.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
Pays :
Distributeur :
Buena Vista
Michael Chapman gagne maigrement sa vie comme imprésario dans l'agence de casting de son frère Ed, spécialisée dans le recrutement d'enfants. Ed et lui ne parviennent pas à dénicher la perle rare qui assurerait le succès de leur entreprise. Un jour pourtant, à cause d'un vol de portefeuille dont il est la victime, Michael fait la connaissance d'Angie, une fillette au franc-parier qu'il s'empresse d'enrôler. Angie décroche facilement le premier rôle dans une série de publicités de biscuits. Mais l'enfant, qui vit dans un milieu familial défavorisé, décide de venir habiter chez Michael, ce qui ne va pas sans poser quelques problèmes.

L’AVIS DE MEDIAFILM

La première partie du film possède une certaine fraîcheur et un entrain communicatif, mais la suite ne manque pas de décevoir. L'univers de la publicité et le thème du dépistage de jeunes talents donnent lieu à quelques situations comiques assez savoureuses qui ont malheureusement tendance à se répéter outre mesure. Le scénariste tombe donc rapidement à court d'idées, ce qui l'amène à recourir à des formules narratives éprouvées et faciles, ainsi qu'à des éléments attendus de sensiblerie. La mise en scène demeure strictement fonctionnelle, mais les interprètes ne manquent ni de charme, ni de spontanéité.

Texte : Martin Girard

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