Hear No Evil

Name: Hear No Evil
Director: Robert Greenwald
Genre: Drame policier
Duration: 96 min.

É.-U. 1993. Drame policier de Robert Greenwald avec Marlee Matlin, D.B. Sweeney, Martin Sheen. Une jeune marathonienne atteinte de surdité devient la cible d'un mystérieux agresseur à la suite de la disparition d'un ami journaliste. Sujet potentiellement intéressant. Traitement banal. Suspense faiblement construit. Mise en scène manquant d'ingéniosité. Interprétation intense de M. Matlin.

Hear No Evil (Hear No Evil)

13 ans +

É.-U. 1993. Drame policier de Robert Greenwald avec Marlee Matlin, D.B. Sweeney, Martin Sheen.

Une jeune marathonienne atteinte de surdité devient la cible d'un mystérieux agresseur à la suite de la disparition d'un ami journaliste. Sujet potentiellement intéressant. Traitement banal. Suspense faiblement construit. Mise en scène manquant d'ingéniosité. Interprétation intense de M. Matlin.

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Genre :

Drame policier

Année :

1993

Durée :

96 min.

Réalisation :

Robert Greenwald

Pays :

États-Unis

Distributeur :

20th Century Fox

Interprètes :

Marlee Matlin
D.B. Sweeney
Martin Sheen

A la demande d'un policier véreux de Portland, un jeune truand vole dans un musée une pièce de monnaie de très grande valeur. Craignant ensuite d'être éliminé par le flic, il contacte le journaliste Mickey O'Maley pour lui raconter son histoire. Il lui refile même son butin lorsque des policiers tentent de l'appréhender. Mickey cache à l'insu de tous la pièce dans l'appartement d'une amie, Jillian, jeune marathonienne atteinte de surdité. Le jour môme, le journaliste disparaît dans un accident bizarre. Jillian devient alors la cible d'un mystérieux agresseur et doit trouver refuge chez un compagnon de fortune, Ben, qui tente avec elle de démasquer le coupable.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le sujet ne manque pas en soi de possibilités intéressantes pour entretenir un bon climat de tension. D'ailleurs, la surdité de l'héroïne ajoute un élément nouveau à certaines situations déjà maintes fois exploitées dans d'autres films. Mais pour se placer vraiment au-dessus de la moyenne du genre, il aurait fallu que le film adopte de façon plus systématique le point de vue de la protagoniste. Tel quel, l'ensemble demeure généralement banal, d'autant plus que les développements de ce suspense sont faiblement construits et que la mise en scène manque d'adresse et d'ingéniosité. L'interprétation de Marlee Matlin possède cependant l'intensité requise.

Texte : Martin Girard

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