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Fear of a Black Hat

É.-U. 1993. Comédie satirique de Rusty Cundieff avec Larry B. Scott, Mark Christopher Lawrence, Rusty Cundieff. Une jeune étudiante en sociologie entreprend de tourner un documentaire sur un groupe de musique "rap". Satire présentée sous la forme d'un pseudo-documentaire. Sujet irrévérencieux. Traitement parfois complaisant. Interprétation dans le ton voulu.

13 ans + (langage vulgaire)
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Fear of a Black Hat (Fear of a Black Hat)

13 ans + (langage vulgaire) 13 ans + (langage vulgaire)

É.-U. 1993. Comédie satirique de Rusty Cundieff avec Larry B. Scott, Mark Christopher Lawrence, Rusty Cundieff.

Une jeune étudiante en sociologie entreprend de tourner un documentaire sur un groupe de musique "rap". Satire présentée sous la forme d'un pseudo-documentaire. Sujet irrévérencieux. Traitement parfois complaisant. Interprétation dans le ton voulu.

Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Malofilm
Une jeune étudiante en sociologie entreprend de tourner, en guise de thèse de doctorat, un documentaire sur un groupe de musique rap, les N.W.H. (Niggaz With Hats), qu'elle se propose de suivre en tournée pendant un an. Le groupe compte trois membres: le chanteur-vedette Ice Cold, le guitariste Tasty-Taste et le disc-jockey Tone Def. Quand ils ne sont pas occupés à se produire sur scène, à se disputer, à se chercher un nouveau gérant ou a se chamailler avec un groupe rival, les N.W.H. répondent aux questions de l'étudiante sur la violence, le racisme, le sexe, la politique, les femmes et le sens de leurs chansons, qui portent des titres aussi évocateurs que "Guerillas in the Midst" et "Booty Juice".

L’AVIS DE MEDIAFILM

Comme pour son modèle THIS IS SPINAL TAP, on peut se demander où se situe la frontière entre la caricature et la réalité dans ce pseudo-documentaire où les intentions du réalisateur ne sont pas très clairement définies. Le monde de la musique rap est en soi tellement provocateur et paradoxal qu'il devient difficile de le parodier efficacement sans devenir complaisant. En dépit de quelques longueurs et du manque évident de moyens et d'expérience, il est toutefois rafraîchissant de voir un cinéaste se lancer sans aucune retenue dans un sujet aussi irrévérencieux et choquant. Les comédiens jouent dans le ton voulu.

Texte : André Caron

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