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Deadly Heroes

Can. 1993. Aventures de Menahem Golan avec Michael Paré, Claudette Mink, Jan-Michael Vincent. Un militaire américain se rend en Afrique du Nord pour tenter de délivrer sa femme qui a été kidnappée par des terroristes. Enfilade indigeste de séquences d'esprit belliciste. Données d'actualités mal digérées. Mise en scène et montage des plus bâclés. Interprétation horrible.

13 ans +
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Deadly Heroes (Deadly Heroes)

13 ans + 13 ans +

Can. 1993. Aventures de Menahem Golan avec Michael Paré, Claudette Mink, Jan-Michael Vincent.

Un militaire américain se rend en Afrique du Nord pour tenter de délivrer sa femme qui a été kidnappée par des terroristes. Enfilade indigeste de séquences d'esprit belliciste. Données d'actualités mal digérées. Mise en scène et montage des plus bâclés. Interprétation horrible.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
C/FP
A l'aéroport d'Athènes, des terroristes acceptent de libérer leurs otages en échange de leur chef Carlos. Fuyant vers un pays arabe ami, les hors-la-loi emmènent avec eux l'épouse du militaire américain Brad Cartowski qu'ils n'ont pas voulu relaxer. Accompagné de son commandant, Brad se rend alors en Afrique du Nord où il monte une opération en vue de délivrer sa femme devenue la proie des avances de Carlos.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Tâcheron du cinéma d'action et producteur reconnu pour la médiocrité de ses "oeuvres", Menahem Golan offre un nouvel exemple flagrant de son incapacité à concevoir un film autrement que comme une enfilade indigeste de séquences d'esprit belliciste. Horriblement interprété et très mal mis en scène, l'ensemble se paie de plus un montage des plus bâclés qui constitue un affront permanent à la bonne volonté du spectateur. Dans ce scénario réduit au minimum et conduit à partir de vagues données d'actualité mal digérées, le réalisateur trouve prétexte à exercer sa propension à une démagogie nourrie à même les clichés d'un américanisme primaire. Si les méchants sont atrocement caricaturés, la caractérisation des héros ne dépasse jamais le stéréotype à tendance raciste.

Texte : Christian Depoorter

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