Camilla

Name: Camilla
Director: Deepa Mehta
Genre: Comédie dramatique
Duration: 93 min.

Can. 1993. Comédie dramatique de Deepa Mehta avec Jessica Tandy, Bridget Fonda, Elias Koteas. Sur la route qui les conduit à Toronto, une jeune guitariste et une vieille violoncelliste se révèlent l'une à l'autre. Nouvelle variation sur le thème du duo féminin. Cheminement psychologique des personnages insuffisant. Mise en scène manquant d'allant. Bonne interprétation de J. Tandy.

Camilla (Camilla)

Général

Can. 1993. Comédie dramatique de Deepa Mehta avec Jessica Tandy, Bridget Fonda, Elias Koteas.

Sur la route qui les conduit à Toronto, une jeune guitariste et une vieille violoncelliste se révèlent l'une à l'autre. Nouvelle variation sur le thème du duo féminin. Cheminement psychologique des personnages insuffisant. Mise en scène manquant d'allant. Bonne interprétation de J. Tandy.

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Genre :

Comédie dramatique

Année :

1993

Durée :

93 min.

Réalisation :

Deepa Mehta

Pays :

Canada

Distributeur :

Alliance Atlantis Vivafilm

Interprètes :

Jessica Tandy
Bridget Fonda
Elias Koteas

Durant ses vacances avec son époux, une jeune guitariste fait la connaissance d'une vieille violoncelliste et de son fils. Rapidement devenues complices, les deux femmes partagent leur amertume: la première ne parvient pas à s'imposer et la seconde nourrit un vieux chagrin d'amour. Sur la route qui les conduit à Toronto pour y entendre un concerto qui avait a l'époque marqué la carrière de la violoncelliste, les deux femmes se révèlent l'une à l'autre.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Sur un thème qu'exploitait avec plus d'invention FRIED GREEN TOMATOES, cette nouvelle variation sur le duo féminin donne l'occasion d'admirer une dernière fois la talentueuse Jessica Tandy. Malheureusement, l'aînée excentrique qu'elle incarne se charge d'enfiler les anecdotes de jeunesse, sa jeune partenaire demeurant tout au plus une oreille attentive à ses côtés. Les personnages masculins sont plutôt risibles et ne justifient donc pas la frustration qu'éprouvent les deux femmes à leur endroit. La mise en scène manque de l'allant qui caractérise généralement les "road-movies". De plus, le cheminement psychologique des personnages est insuffisant pour évoquer un véritable voyage intérieur. Jessica Tandy se prête de bonne grâce à des scènes pourtant racoleuses qui mise sur sa notoriété. Le reste de la distribution manque de conviction.

Texte : Martin Bilodeau

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