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Au-dessus de la loi (Army of One)

É.-U. 1993. Drame policier de Vic Armstrong avec Dolph Lundgren, George Segal, Kristian Alfonso. Un fugitif qui a pris une policière en otage cherche à se venger d'un détective qui est le véritable coupable du meurtre dont on l'a accusé. Accumulation de scènes de bagarres et de fusillades interminables. Traitement frôlant la caricature. Interprétation plutôt grossière.

13 ans + (violence)
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Au-dessus de la loi (Army of One)

13 ans + (violence) 13 ans + (violence)

É.-U. 1993. Drame policier de Vic Armstrong avec Dolph Lundgren, George Segal, Kristian Alfonso.

Un fugitif qui a pris une policière en otage cherche à se venger d'un détective qui est le véritable coupable du meurtre dont on l'a accusé. Accumulation de scènes de bagarres et de fusillades interminables. Traitement frôlant la caricature. Interprétation plutôt grossière.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Alliance Vivafilm
Condamné à la prison pour le meurtre d'un policier, le détenu Santee parvient à s'évader et prend en otage la jeune Rita dans une station d'essence. Ignorant qu'il s'agit d'une policière. Le fugitif est aussitôt pris en chasse par le détective Frank Severance qui commande tout un bataillon de patrouilleurs. Santee parvient à rejoindre la ville où il abandonne sa prisonnière pour ensuite se rendre à la résidence de Severance. Se doutant qu'il y a anguille sous roche, Rita le file et découvre ainsi que Santee veut se venger de Frank qui est le véritable coupable du meurtre dont a été accusé le fugitif. La jeune femme se range alors du côté de son ravisseur qui décide d'employer la manière forte afin de démasquer le flic corrompu.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Malgré un semblant d'intrigue, le but principal de cette production routinière est d'accumuler le maximum de scènes d'action et de violence dans un minimum de temps. Le scénariste tente bien ici et là de fournir à ses personnages quelques éléments de caractérisation, mais pour ce faire il puise dans les pires stéréotypes du genre. Accumulant sans vergogne les invraisemblances les plus criantes, le scénario frôle quasiment la caricature dans les scènes de bagarres et de fusillades qui n'en finissent plus. La réalisation et l'interprétation sont à l'avenant, c'est-à-dire plutôt grossières.

Texte : Martin Girard

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