Wind

Name: Wind
Director: Carroll Ballard
Genre: Drame sportif
Duration: 126 min.

É.-U. 1992. Drame sportif de Carroll Ballard avec Matthew Modine, Jennifer Grey, Stellan Skarsgard. Aidé de son ancienne petite amie et d'un ingénieur en aéronautique, un jeune homme construit un voilier en vue de participer à la plus prestigieuse épreuve nautique. Intrigue à saveur chauviniste. Trame sentimentale aussi prévisible qu'insignifiante. Réalisation technique soignée. Interprétation assez convenable.

Wind (Wind)

Général

É.-U. 1992. Drame sportif de Carroll Ballard avec Matthew Modine, Jennifer Grey, Stellan Skarsgard.

Aidé de son ancienne petite amie et d'un ingénieur en aéronautique, un jeune homme construit un voilier en vue de participer à la plus prestigieuse épreuve nautique. Intrigue à saveur chauviniste. Trame sentimentale aussi prévisible qu'insignifiante. Réalisation technique soignée. Interprétation assez convenable.

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Genre :

Drame sportif

Année :

1992

Durée :

126 min.

Réalisation :

Carroll Ballard

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Columbia

Interprètes :

Matthew Modine
Jennifer Grey
Stellan Skarsgard

Will Parker est prêt à tout sacrifier pour participer à l'America's Cup, la plus prestigieuse épreuve nautique. Abandonné par sa fiancée Kate, il doit pourtant boire la coupe jusqu'à la lie puisque son équipe est battue par les Australiens. Se remettant difficilement de ce revers, le jeune homme rejoint Kate dans un aérodrome perdu dans le désert de l'Utah, où elle vit et travaille avec Joe, un ingénieur en aéronautique. Convaincu qu'il peut reconquérir le trophée, Will embarque son monde dans la construction d'un nouveau voilier. Avec l'aide financière d'Abigail, la fille de l'ancien skipper de l'équipe américaine, le projet se réalise et Will se retrouve aux commandes du bateau qui devra triompher des Australiens.

L’AVIS DE MEDIAFILM

S'inspirant de la seule défaite américaine après 132 ans d'existence de l'America's Cup, ce film à saveur chauviniste se présente comme un long éloge à l'esprit d'entreprise, saupoudré d'une trame sentimentale aussi prévisible qu'insignifiante. Trop occupé à vanter les mérites de jeunes yuppies américains, le réalisateur a oublié de structurer un récit qui aurait pourtant gagné à être bien plus resserré. Ainsi, de très belles prises de vue marines s'étirent dans d'interminables longueurs qui n'ajoutent rien à la simplicité de l'intrigue. Une réalisation technique dotée d'un professionnalisme certain sert de faire-valoir à des personnages peu nuancés se contentant de rapports superficiels. L'interprétation se révèle convenable.

Texte : Christian Depoorter

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