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Wild West

G.-B. 1992. Comédie de moeurs de David Attwood avec Naveen Andrews, Sarita Choudhury, Ronny Jhutti. Les tribulations d'un groupe de musiciens country de Londres composé d'Anglo-Pakistanais. Intrigue filant à toute allure. Discours dense parfois naïf. Musique enlevée. Réalisation joyeusement fébrile. Interprétation enjouée.

13 ans +
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Wild West (Wild West)

13 ans + 13 ans +

G.-B. 1992. Comédie de moeurs de David Attwood avec Naveen Andrews, Sarita Choudhury, Ronny Jhutti.

Les tribulations d'un groupe de musiciens country de Londres composé d'Anglo-Pakistanais. Intrigue filant à toute allure. Discours dense parfois naïf. Musique enlevée. Réalisation joyeusement fébrile. Interprétation enjouée.

Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Alliance Vivafilm
A Southall, en banlieue de Londres, Zaf et ses frères anglo-pakistanais rêvent de devenir chanteurs country. L'idée ne plaît guère à leur entourage et en particulier à une bande de voyous qui ne cesse de les attaquer. La vie des Honky Tonk Cowboys se complique encore plus le jour où Zaf tombe amoureux de Rifat, l'épouse d'un homme violent. N'écoutant que son coeur, le jeune "cow-boy" la persuade de quitter son mari pour se joindre au groupe, qui dès lors va connaître le -succès. Lorsqu'un imprésario remarque Rifat, ses amis l'encouragent à poursuivre une carrière solo. Les musiciens s'envoient ensuite pour Nashville, grâce à l'argent que leur a laissé leur mère, retournée vivre au Pakistan.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Fidèle à ses habitudes, Channel Four nous sert ici une production qui sort de l'ordinaire. Malgré les maigres moyens mis à leur disposition, les jeunes auteurs de WILD WEST font le portrait de la nouvelle Angleterre, celle des jeunes gens nés de familles d'immigrants provenant d'anciennes colonies. L'intrigue file à toute allure et fait flèche de tout bois sur un mode comique: tensions raciales et culturelles, conflits de générations, émancipation féminine et violence urbaine tissent la trame du récit. Le discours n'est pas exempt de naïvetés, mais la réalisation qui se montre joyeusement fébrile, rachète cette faiblesse. La musique s'avère enlevée et l'interprétation enjouée.

Texte : Johanne Larue

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