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Waterland

G.-B. 1992. Drame de moeurs de Stephen Gyllenhaal avec Jeremy Irons, Ethan Hawke, Sinead Cusack. Un enseignant britannique tente de sensibiliser ses élèves américains à l'Histoire en leur racontant sa vie durant la Deuxième Guerre mondiale. Narration fort originale. Première partie riche en bouleversements spatio-temporels. Suite plus conventionnelle. Mise en scène soignée. Interprétation dominée par J. Irons.

13 ans + (érotisme)
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Waterland (Waterland)

13 ans + (érotisme) 13 ans + (érotisme)

G.-B. 1992. Drame de moeurs de Stephen Gyllenhaal avec Jeremy Irons, Ethan Hawke, Sinead Cusack.

Un enseignant britannique tente de sensibiliser ses élèves américains à l'Histoire en leur racontant sa vie durant la Deuxième Guerre mondiale. Narration fort originale. Première partie riche en bouleversements spatio-temporels. Suite plus conventionnelle. Mise en scène soignée. Interprétation dominée par J. Irons.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Alliance Vivafilm
Le Britannique Tom Crick tente de sensibiliser ses élèves américains à l'Histoire en leur racontant des anecdotes de sa vie durant la Deuxième Guerre mondiale. Il leur décrit son village, situé dans une contrée de marais salants, la vie de ses aïeuls, la relation incestueuse à l'origine de la naissance de son demi-frère, son amour pour Mary qui allait devenir son épouse, et l'avortement qui faillit coûter la vie à celle-ci. Choqués par le contenu de ces récits, certains étudiants portent plainte à la direction de l'école. Crick se voit forcé de prendre sa retraite, pendant que sa femme, obsédée par son infertilité, tente de kidnapper un poupon avant de déserter le foyer conjugal.

L’AVIS DE MEDIAFILM

La grande qualité du film tient à l'originalité de sa narration qui rappelle par moments les expériences d'un Resnais ou d'un Roeg. La première heure s'avère riche en bouleversements spatio-temporels, les auteurs allant jusqu'à entraîner l'auditoire du narrateur sur les lieux mêmes de ses souvenirs. Beaucoup moins originale, la dernière partie déçoit par son conventionnalisme et la prévisibilité de certains développements. Cependant, la mise en scène demeure soignée jusqu'à la fin. Jeremy Irons domine l'interprétation.

Texte : Johanne Larue

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