Voyage à Rome

Name: Voyage à Rome
Director: Michel Lengliney
Genre: Comédie de moeurs
Duration: 90 min.

Fr. 1992. Comédie de moeurs de Michel Lengliney avec Gérard Jugnot, Suzanne Flon, François Périer. Apprenant que sa mère veut quitter son père, un quadragénaire au bord du divorce emmène celle-ci à Rome afin de lui faire changer d'avis. Crise conjugale et conflit de générations abordés avec tendresse et humour. Mise en scène manquant de ressort. Interprétation correcte.

Voyage à Rome (Voyage à Rome)

Général

Fr. 1992. Comédie de moeurs de Michel Lengliney avec Gérard Jugnot, Suzanne Flon, François Périer.

Apprenant que sa mère veut quitter son père, un quadragénaire au bord du divorce emmène celle-ci à Rome afin de lui faire changer d'avis. Crise conjugale et conflit de générations abordés avec tendresse et humour. Mise en scène manquant de ressort. Interprétation correcte.

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Genre :

Année :

Durée :

Réalisation :

Pays :

France

Distributeur :

n/d

Interprètes :

Gérard Jugnot
Suzanne Flon
François Périer

Alors qu'il est au bord du divorce, Thierry se réfugie chez ses parents à Lyon pour prendre un peu d'air. Estomaqué, le quadragénaire apprend que sa mère a décidé de déserter le foyer conjugal. Espérant calmer le jeu, Thierry lui propose un petit voyage à Rome pour aller voir le pape qu'elle a toujours désiré rencontrer. Tantôt complices, tantôt tendues, les relations mère/fils se compliquent lorsqu'une belle italienne les invite pour la soirée chez elle. Se sentant délaissée, la vieille dame retourne en train à Lyon, mais elle est finalement rejointe par sa progéniture. Tous deux peuvent alors mesurer l'amour qu'ils se portent l'un l'autre.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Gentille petite comédie teintée de tendresse et d'un humour léger, VOYAGE À ROME est le premier film d'un réalisateur venu du théâtre. Ce duo d'acteurs autour des thèmes de la crise conjugale et de la différence entre les générations est systématiquement parsemé de moult détails sympathiques et savoureux qui font oublier toute la dimension dramatique du sujet. Si les stéréotypes d'usage n'ont pas toujours été évités, il est cependant plus regrettable encore que les péripéties de cette espèce de road movie ne possèdent pas le ressort nécessaire pour soutenir l'attention d'un bout à l'autre. La minceur de l'argument et les maladresses de la mise en scène y sont sûrement pour quelque chose. Plus retenu qu'à l'accoutumée, le jeu de Gérard Jugnot s'accorde agréablement avec la douce folie exprimée par Suzanne Flon.

Texte : Christian Depoorter

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