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Tout ça... pour ça!

Fr. 1992. Comédie de moeurs de Claude Lelouch avec Marie-Sophie L., Fabrice Luchini, Francis Huster. Les mésaventures de cinq couples éprouvant diverses difficultés conjugales. Va-et-vient entre différents lieux, temps et personnages. Ton de spontanéité agréable. Péripéties variées. Mise en scène énergique et décontractée. Jeu naturel des comédiens.

Général
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Tout ça... pour ça! (Tout ça... pour ça!)

Général Général

Fr. 1992. Comédie de moeurs de Claude Lelouch avec Marie-Sophie L., Fabrice Luchini, Francis Huster.

Les mésaventures de cinq couples éprouvant diverses difficultés conjugales. Va-et-vient entre différents lieux, temps et personnages. Ton de spontanéité agréable. Péripéties variées. Mise en scène énergique et décontractée. Jeu naturel des comédiens.

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Récompenses
L'avocate Marie et son amant Francis, président du tribunal, magouillent ensemble afin que leurs époux respectifs tombent amoureux l'un de l'autre durant un week-end entre couples à la montagne. Francis espère ainsi pouvoir rompre avec Alessandra sans lui briser le coeur De son côté, celle-ci envisage de rallumer la passion amoureuse de Francis en feignant d'être attirée par Fabrice, l'époux de Marie, lui aussi avocat. Mais un malaise ressenti par Francis met fin abruptement à leurs vacances. A Paris, ce dernier préside le procès de trois hommes défendus par Marie et Fabrice. Ils écoutent tous avec intérêt l'histoire rocambolesque de ce trio qui a commis ses crimes par désespoir amoureux.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Comme il en a l'habitude, Claude Lelouch construit son scénario avec un goût marqué pour le va-et-vient entre différents lieux, temps et personnages. Ainsi, il entremêle les aventures de cinq couples dont les difficultés conjugales lui servent à nourrir une réflexion plus amusante que profonde sur les relations entre hommes et femmes. Le film possède un ton de spontanéité agréable qui sert bien l'humour polisson privilégié par l'auteur. La variété des péripéties et le naturel des interprètes maintiennent facilement l'intérêt du spectateur, même si le dernier épisode, celui du procès en tant que tel, relève d'une fantaisie un peu trop fabriquée. La mise en scène est à la fois énergique et décontractée.

Texte : Martin Girard

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