The Return to the Lost World

Can. 1992. Aventures de Timothy Bond avec John Rhys-Davies, David Warner, Eric McCormack. Une expédition se rend dans une vallée africaine où vivent des animaux préhistoriques menacés par les forages d'un prospecteur d'or noir. Intrigue d'une minceur cadavérique. Péripéties infantiles. Trucages ridicules. Mise en scène incompétente. Interprétation catastrophique.

The Return to the Lost World (The Return to the Lost World)

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Can. 1992. Aventures de Timothy Bond avec John Rhys-Davies, David Warner, Eric McCormack.

Une expédition se rend dans une vallée africaine où vivent des animaux préhistoriques menacés par les forages d'un prospecteur d'or noir. Intrigue d'une minceur cadavérique. Péripéties infantiles. Trucages ridicules. Mise en scène incompétente. Interprétation catastrophique.

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Genre :

Aventures

Année :

1992

Durée :

90 min.

Réalisation :

Timothy Bond

Pays :

Canada

Distributeur :

C/FP

Interprètes :

John Rhys-Davies
David Warner
Eric McCormack

Ayant été prévenu qu'une région perdue de l'Afrique où vivent des animaux préhistoriques est menacée par les forages d'un prospecteur d'or noir, le journaliste Malone et la photographe Jenny réussissent tant bien que mal à convaincre les professeurs Challenger et Summerlee de former une expédition de sauvetage. En plus de l'obligation de surmonter leurs différends, les deux savants doivent une fois sur place trouver le moyen de mettre fin aux activités d'un volcan menaçant Tout cela, pendant que les sbires du prospecteur tuent sans vergogne de pauvres dinosaures et agressent une tribu indigène pacifique.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Cette suite inutile de THE LOST WORLD est constituée de péripéties infantiles dont le très faible suspense se voit constamment désamorcé par l'incapacité du metteur en scène à aligner plus de deux séquences sans rupture de ton. Peu confiant sans doute en ses trucages ridicules et ses effets pyrotechniques anémiques, le réalisateur a rempli l'écran d'une musique omniprésente afin de signaler au spectateur assoupi que la minceur cadavérique de l'intrigue est censée renfermer des scènes de tension. L'interprétation s'avère aussi catastrophique que le reste et l'on se demande comment un acteur tel que David Warner a pu s'embarquer dans cette galère.

Texte : Christian Depoorter

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