The Lost World

Name: Lost World, The
Director: Timothy Bond
Genre: Aventures
Duration: 90 min.

Can. 1992. Aventures de Timothy Bond avec John Rhys-Davies, David Warner, Eric McCormack. Une expédition affronte de multiples dangers dans une vallée africaine où vivent quantités d'animaux préhistoriques. Ersatz inspiré des bandes dessinées des années 1950. Abondance d'invraisemblances et de stéréotypes. Trucages d'une pauvreté affligeante. Interprétation caricaturée à outrance.

The Lost World (The Lost World)

Général

Can. 1992. Aventures de Timothy Bond avec John Rhys-Davies, David Warner, Eric McCormack.

Une expédition affronte de multiples dangers dans une vallée africaine où vivent quantités d'animaux préhistoriques. Ersatz inspiré des bandes dessinées des années 1950. Abondance d'invraisemblances et de stéréotypes. Trucages d'une pauvreté affligeante. Interprétation caricaturée à outrance.

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Genre :

Aventures

Année :

1992

Durée :

90 min.

Réalisation :

Timothy Bond

Pays :

Canada

Distributeur :

C/FP

Interprètes :

John Rhys-Davies
David Warner
Eric McCormack

Malgré les sarcasmes de ses confrères londoniens, le professeur Challenger soutient mordicus avoir découvert une vallée perdue au fin fond de l'Afrique où vivent encore de nombreux animaux préhistoriques. Afin de mettre fin à toutes les rumeurs, une expédition est montée avec à sa tête le grand rival de Challenger, le géologue Summerlee. Le journaliste Malone et la photographe Jenny accompagnent le savant S'ajoutent bientôt à l'équipe Challenger lui-même et le jeune coursier Jim qui tenaient absolument à être de la partie. Trahis par leur guide, les aventuriers doivent affronter de multiples dangers dans cette fameuse vallée où vivent effectivement quantité d'animaux que l'on croyait à jamais disparus.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Ne devant sa sortie en salle qu'à l'immense engouement pour les animaux préhistoriques généré par LE PARC JURASSIQUE de Spielberg, cet ersatz inspiré des bandes dessinées des années 50 a été concocté à partir de diverses péripéties abracadabrantes, puisées de-ci de-là dans la manne sans fond de la série Z. Si les invraisemblances et les stéréotypes en tous genres foisonnent à volonté, les trucages pour leur part s'avèrent d'une pauvreté affligeante. Le réalisateur a pris la peine de tourner tout cela avec un certain soin dans les beaux paysages du Zimbabwe, mais la couleur locale se limite à un assaisonnement de clichés de la pire espèce. L'interprétation ne dépasse guère la caricature outrancière.

Texte : Christian Depoorter

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