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Scanners III: La Conquête (Scanners III: The Takeover)

Can. 1992. Drame fantastique de Christian Duguay avec Liliana Komorowska, Valérie Valois, Steve Parrish. Une jeune femme dotée de pouvoirs surnaturels se transforme en être maléfique après avoir fait l'essai d'une drogue. Enfilade de situations risibles. Traitement frôlant la caricature involontaire. Effets grotesques. Jeu grimaçant des interprètes.

13 ans +
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Scanners III: La Conquête (Scanners III: The Takeover)

13 ans + 13 ans +

Can. 1992. Drame fantastique de Christian Duguay avec Liliana Komorowska, Valérie Valois, Steve Parrish.

Une jeune femme dotée de pouvoirs surnaturels se transforme en être maléfique après avoir fait l'essai d'une drogue. Enfilade de situations risibles. Traitement frôlant la caricature involontaire. Effets grotesques. Jeu grimaçant des interprètes.

Année :
Durée :
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Distributeur :
Malofilm
Producteurs :
Helena Monet est une scanner car elle possède un don qui lui permet de communiquer par télépathie et de transformer à distance les objets et les êtres vivants. Mais comme tous les scanners, Helena est affligée de migraines insoutenables. Espérant apaiser ses souffrances, la jeune femme fait l'essai d'un analgésique qui s'avère remarquablement efficace. Ce calmant la transforme cependant en un être maléfique. Éliminant tous ceux qui s'opposent à elle, Helena prend le contrôle d'une chaîne de télévision pour y diffuser des messages télépathiques en vue d'assujettir les citoyens à sa volonté. Son frère Alex, lui aussi scanner, entreprend de la mettre hors d'état de nuire.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Sans être particulièrement transcendantes, les premières scènes démontrent un certain contrôle dans la mise en scène et un effort valable pour bien établir la motivation des personnages. Cela ne dure cependant pas et le film finit par verser dans un grotesque ineffable. Dès que l'héroïne adopte son caractère maléfique, les situations deviennent risibles et le traitement frôle plus souvent qu'autrement la caricature involontaire. Le réalisateur s'ingénie à souligner les aspects les plus idiots du scénario et il dirige ses interprètes comme s'il présidait à une séance de grimaces.

Texte : Martin Girard

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