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Mutronics

É.-U. 1992. Science-fiction de Steven Wang, Screaming Mad George avec Jack Armstrong, Mark Hamill, Vivian Wu. Transformé par inadvertance en un combattant redoutable, un jeune extraterrestre affronte une armée de créatures monstrueuses. Histoire simpliste truffée d'invraisemblances. Péripéties répétitives dépourvues d'imagination. Production bâclée. Interprétation d'une insigne banalité.

13 ans + (horreur)
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Mutronics (Mutronics)

13 ans + (horreur) 13 ans + (horreur)

É.-U. 1992. Science-fiction de Steven Wang, Screaming Mad George avec Jack Armstrong, Mark Hamill, Vivian Wu.

Transformé par inadvertance en un combattant redoutable, un jeune extraterrestre affronte une armée de créatures monstrueuses. Histoire simpliste truffée d'invraisemblances. Péripéties répétitives dépourvues d'imagination. Production bâclée. Interprétation d'une insigne banalité.

Genre :
Année :
Durée :
Pays :
Distributeur :
C/FP
Des extraterrestres ont installé un laboratoire sur Terre où ils mènent des expériences destinées à créer une nouvelle race de mutants. Balcus, le chef de ces visiteurs venus de l'espace, avait en sa possession une arme secrète qui a été dérobée par un de ses savants. Ce dernier est parvenu à cacher l'invention juste avant d'être tué par les guerriers de Falcus. Sean, le compagnon de Misky, la fille du défunt, met la main sur cet instrument mystérieux et l'active involontairement: il se transforme alors en combattant redoutable muni d'une armure organique qui Je rend quasiment invincible. Grâce à ses nouveaux pouvoirs, le jeune homme peut désormais combattre Balcus et son armée de créatures monstrueuses.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Cette histoire simpliste a visiblement été conçue pour un public d'adolescents friands de monstres caoutchouteux. Il y a cependant fort à parier que même les spectateurs les plus tolérants ne se laisseront pas mystifier par une production aussi bâclée. Passe encore que le scénario soit truffé d'invraisemblances, au demeurant acceptables dans un contexte aussi fantaisiste, mais rien ne peut justifier le manque d'imagination dont souffrent ces péripéties répétitives. L'humour au premier degré ne rachète rien, non plus que l'interprétation d'une insigne banalité.

Texte : Martin Girard

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