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Mazeppa

Fr. 1992. Drame de moeurs de Bartabas avec Bartabas, Miguel Bose, Brigitte Mary. Afin d'étudier de plus près les chevaux, le peintre romantique Géricault séjourne parmi les membres d'un cirque spécialisé dans les spectacles équestres. Univers propice au spectaculaire et à l'inusité. Personnages schématiques. Éléments visuels séduisants. Interprétation stylisée.

Général
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Mazeppa (Mazeppa)

Général Général

Fr. 1992. Drame de moeurs de Bartabas avec Bartabas, Miguel Bose, Brigitte Mary.

Afin d'étudier de plus près les chevaux, le peintre romantique Géricault séjourne parmi les membres d'un cirque spécialisé dans les spectacles équestres. Univers propice au spectaculaire et à l'inusité. Personnages schématiques. Éléments visuels séduisants. Interprétation stylisée.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Photographie :
Musique :
Montage :
Pays :
Distributeur :
Alliance Vivafilm
Lors d'un vernissage, le peintre romantique Théodore Géricault accepte l'invitation que lui fait Franconi, le directeur du Cirque olympique, d'aller étudier de plus près son sujet de prédilection: le cheval. Dès son arrivée au cirque, Géricault découvre que son hôte possède un tempérament acrimonieux qui le rend intransigeant et fort critique à l'égard de ses toiles. Le peintre se résout tout de même à suivre les directives de Franconi qui lui fait bel et bien découvrir sous un angle nouveau l'animal et la relation qu'il entretient avec l'homme. Géricault compromet cependant sa position d'invité lorsqu'il tombe amoureux de la maîtresse de son mécène.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Après avoir transformé le monde du spectacle en imaginant un opéra et des revues de cabaret équestres, Bartabas, le directeur du théâtre Zingaro, s'attaque maintenant au cinéma avec un sujet taillé sur mesure pour lui. Le résultat s'avère intéressant malgré quelques failles. La réalisation mise surtout sur le spectaculaire et l'inusité des éléments qui composent l'univers du récit, qualités qui rendent le film un régal pour les yeux. Cependant, la description des personnages ainsi que les relations qu'ils entretiennent entre eux restent plutôt schématiques. Le même côté superficiel se remarque aussi dans le discours que tient Bartabas sur l'art et les mécanismes de la création. L'interprétation est stylisée.

Texte : Johanne Larue

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