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Man Trouble

É.-U. 1992. Comédie policière de Bob Rafelson avec Jack Nicholson, Ellen Barkin, Beverly d'Angelo. Le propriétaire d'une agence de sécurité se voit offrir une petite fortune en échange d'un manuscrit écrit par une cliente dont il s'est épris. Scénario aux développements manquant de piquant. Humour plutôt tiède. Mise en scène impersonnelle quoiqu'appliquée. Effort louable des comédiens.

Général
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Man Trouble (Man Trouble)

Général Général

É.-U. 1992. Comédie policière de Bob Rafelson avec Jack Nicholson, Ellen Barkin, Beverly d'Angelo.

Le propriétaire d'une agence de sécurité se voit offrir une petite fortune en échange d'un manuscrit écrit par une cliente dont il s'est épris. Scénario aux développements manquant de piquant. Humour plutôt tiède. Mise en scène impersonnelle quoiqu'appliquée. Effort louable des comédiens.

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Se sentant peu rassurée après que son appartement ait reçu la visite d'un cambrioleur, Joan Spruance, une jeune soprano, s'en va demeurer dans la luxueuse demeure de sa soeur Andy, où elle fait appel aux services d'une agence de sécurité spécialisée dans la location de chiens de garde. Comme il éprouve de sérieux problèmes financiers, Harry Bliss, le propriétaire de l'agence, se montre plutôt entreprenant envers cette cliente en apparence très fortunée. Et voilà que l'ex-mari d'Andy, un milliardaire réputé, offre une fortune à Harry s'il parvient à dérober le manuscrit d'un livre compromettant qu'a écrit son ancienne épouse. La proposition est tentante, mais Harry hésite car il s'est épris de Joan.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Selon toute apparence, les auteurs ont voulu faire une comédie romantico-policière au charme un peu suranné où l'accent est mis sur le jeu des interprètes et le comique de situation. Malheureusement, le scénario ne présente guère d'intérêt: le rythme est laborieux, les développements manquent de piquant et l'humour s'avère plutôt tiède. L'effort des comédiens est louable mais en définitive plutôt vain. Quelques passages assez enlevés ou drôles ressortent de l'ensemble, mais pas suffisamment pour vraiment racheter le tout. Bob Rafelson, un cinéaste d'ordinaire plus inventif, signe ici une mise en scène impersonnelle, quoique tout de même appliquée.

Texte : Martin Girard

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